Paroles de la chanson Nouvelle vague par Manau
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Paroles de la chanson Nouvelle vague par Manau
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
Crois-moi je sais ce que pensent les gens
Les malhonnêtes, les bourgeois, les pensants
Ce qui ne savent rien et qui pourtant
Ne se privent jamais de radoter tout le temps
Ils disent de moi que je ne suis qu’un défaut
Que je n’ai pas le droit d’être en photo
À côté des stars accrochées au poteau
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
Crois-moi je sais ce que pensent les gens
Les malhonnêtes, les bourgeois, les pensants
Ce qui ne savent rien et qui pourtant
Ne se privent jamais de radoter tout le temps
Ils disent de moi que je ne suis qu’un défaut
Que je n’ai pas le droit d’être en photo
À côté des stars accrochées au poteau
Sur la place des villages où passent les bateaux
Pourtant j’essaye de me faire discret
Souvent distant, parfois même à l’arrêt
En évitant de faire du bruit en effet
Car je suis à leur yeux celui dont il parait
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
Ça fait un moment que je les entends
Dire du mal de moi à tout bout de champs
Pourtant j’essaye de me faire discret
Souvent distant, parfois même à l’arrêt
En évitant de faire du bruit en effet
Car je suis à leur yeux celui dont il parait
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
Ça fait un moment que je les entends
Dire du mal de moi à tout bout de champs
Assis au café ou bien chez les marchands
Je les sens là tout prêt ces mauvais sentiments
Tous ces murmures que me porte le vent
Ces mots très durs que bien sur je comprends
Même si je n’en suis pas sûr
Je sais bien que venant d’eux il ne peut en être autrement
Alors je fais semblant de ne rien entendre
De les laisser s’étaler et s’étendre
En ignorant bien tout ce qu’ils prétendent
L’important c’est mon feu et surtout pas leurs cendres
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Je les sens là tout prêt ces mauvais sentiments
Tous ces murmures que me porte le vent
Ces mots très durs que bien sur je comprends
Même si je n’en suis pas sûr
Je sais bien que venant d’eux il ne peut en être autrement
Alors je fais semblant de ne rien entendre
De les laisser s’étaler et s’étendre
En ignorant bien tout ce qu’ils prétendent
L’important c’est mon feu et surtout pas leurs cendres
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
Je sais bien que le temps fera l’affaire
Les partageant dans la moindre galère
Les bons des cons dans cette drôle d’atmosphère
Où tout un océan s’agite dans un verre
Les gens peuvent bien continuer de se moquer
De rigoler, de développer l’idée
Qu’un vieux compteur ne peut pas se marier
Avec une sirène qu’il s’est imaginé
Mais moi je sais que mon histoire est vraie
Je vis l’amour, croyez-moi comme jamais
Et à la plage quelqu’un m’aime en secret
Que tempête l’envie je n’ai pas de regrets
Je sais bien que le temps fera l’affaire
Les partageant dans la moindre galère
Les bons des cons dans cette drôle d’atmosphère
Où tout un océan s’agite dans un verre
Les gens peuvent bien continuer de se moquer
De rigoler, de développer l’idée
Qu’un vieux compteur ne peut pas se marier
Avec une sirène qu’il s’est imaginé
Mais moi je sais que mon histoire est vraie
Je vis l’amour, croyez-moi comme jamais
Et à la plage quelqu’un m’aime en secret
Que tempête l’envie je n’ai pas de regrets
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
C’est juste une nouvelle vague, un nouveau continent
Accroché à tous ces nuages au-dessus d’un volcan
Les rochers on les découvre quand la mer se retire
Depuis que mes yeux s’ouvrent j’ai pris le parti d’en rire
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