Paroles de la chanson On avance par Manau
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Paroles de la chanson On avance par Manau
La morsure de froid ne me fait qu'avancer
Je ne comprends pas, je me sens apaisé
Moi qui ne suis là que pour ma liberté
Je ris de tout ça bien avant d'en pleurer
La grande aventure va bientôt commencer
Et personne ici-bas ne pourra arrêter
Y en a toujours prêt à taper dans le dur
Quand viendra le moment où il faudra briser
La vie de ces hommes cachés dans des armures
Se pensant à l'abri, vivants et protégés
Ainsi, des couronnes se sont vues fracassées sur le mur
Aligné de tous nos grands guerriers
Je n'ai jamais compris toutes ces envies, ces désirs de construire des empires
N'avaient loin que des dires et des chants sous les lèvres, des conteurs à devenir
Pour juste devenir vivant et se sentir un peu plus grand et rire d'avoir pu conquérir
Sous la force et bien pire, des domaines bien plus grands qu'un élixir
Mieux que les chaînes visant à retenir
La mort, la haine, sans jamais s'abstenir
Un nouveau règne sous le poids des martyrs
Mais ces hommes vont découvrir ce qu'il se passe ici quand un roi a décidé de mettre à ses pieds
Ceux qu'il n'aurait jamais dû avertir, ou même penser à l'idée de provoquer
Voilà donc l'heure, le moment où les dieux sont prêts à ripailler devant une bataille qui leur sera dédiée
Afin que soient à table, tous nos frères convoyés à tous les retrouver
Pour juste devenir vivant et se sentir un peu plus grand et rire d'avoir pu conquérir
Sous la force et bien pire, des domaines bien plus grands qu'un élixir
Mieux que les chaînes visant à retenir
La mort, la haine, sans jamais s'abstenir
Un nouveau règne sous le poids des martyrs
Mais ces hommes vont découvrir ce qu'il se passe ici quand un roi a décidé de mettre à ses pieds
Ceux qu'il n'aurait jamais dû avertir, ou même penser à l'idée de provoquer
Voilà donc l'heure, le moment où les dieux sont prêts à ripailler devant une bataille qui leur sera dédiée
Afin que soient à table, tous nos frères convoyés à tous les retrouver
On avance
Avec élégance
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance ?
Moi, je dis qu'on avance
On fait pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
Ainsi, me v'là prêt et rang inséré devant ces imbéciles venus se condamner
Renvois la même en moi, le grand désir de se frotter à ceux qui viennent nous provoquer
Vivre enfin tout ce que j'aime, ressentir dans mes veines ce feu sacré qui va me guider
Ainsi, je serai celui de la plaine, qui sera se trouver devant sa destinée
Tout le monde se rapproche et les regards se croisent
Les haches et les pioches, les épées qui se toisent
Le son de mes proches sous des brumes gauloises
Le chant des carnes estérifiant toutes les bases
Devant moi, la peur a commencé à faire son effet de terrir dans les âmes et les cœurs de tous ces baroudeurs qui viennent dans ces murs, connaître la douleur et vivre le malheur
À chacun sa vie, son destin, ses erreurs
Voici que je ris de mon simple bonheur
Je vais vivre cet instant avec la fougue d'un homme à la hauteur
Et que le rouge de mon sang se dévoue pour ne jamais changer de couleur
Ils vont connaître une défaite qu'ils n'ont jamais vécue, malgré toutes ces années
Les haches et les pioches, les épées qui se toisent
Le son de mes proches sous des brumes gauloises
Le chant des carnes estérifiant toutes les bases
Devant moi, la peur a commencé à faire son effet de terrir dans les âmes et les cœurs de tous ces baroudeurs qui viennent dans ces murs, connaître la douleur et vivre le malheur
À chacun sa vie, son destin, ses erreurs
Voici que je ris de mon simple bonheur
Je vais vivre cet instant avec la fougue d'un homme à la hauteur
Et que le rouge de mon sang se dévoue pour ne jamais changer de couleur
Ils vont connaître une défaite qu'ils n'ont jamais vécue, malgré toutes ces années
Ainsi, je me répète, ces hommes n'ont pas vécu, ils se sont alignés sans se savoir perdus
On avance
Avec élégance
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance ?
Moi, je dis qu'on avance
On fait pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
Ça y est, tout est flou et tout est terminé
Ne reste que debout des fous éparpillés
À terre, dans la boue, des corps désincarnés
Tombés sous les coups de nos lames aiguisées
Ce jour malheureux est maintenant terminé
On avance
Avec élégance
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance ?
Moi, je dis qu'on avance
On fait pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
Ça y est, tout est flou et tout est terminé
Ne reste que debout des fous éparpillés
À terre, dans la boue, des corps désincarnés
Tombés sous les coups de nos lames aiguisées
Ce jour malheureux est maintenant terminé
Et tous nos sentiments se sont évaporés
Je parle de ceux qui ne savent que mêler
À tenir ces moments que l'on doit s'infliger
Je sais depuis peu ce que pensent les aînés
Quand ils allaient défendre notre liberté
Moi qui deviens vieux, je ne fais que pleurer
Après chaque événement devenu du passé
Voici venu le temps pour moi d'éteindre la flamme
De faire tomber les âmes et de trouver le calme
Pour enfin apaiser mes démons et les drames qui hantent mon âme
Ce jour est arrivé, et c'était hier
Je n'ai jamais aimé vivre la guerre
Mais c'est ainsi, l'unité est première
Je serais tombé si fier, pour mes frères
L'avenir me dira si les dieux ont aimé ma période de jeune et de flow combattant
Je parle de ceux qui ne savent que mêler
À tenir ces moments que l'on doit s'infliger
Je sais depuis peu ce que pensent les aînés
Quand ils allaient défendre notre liberté
Moi qui deviens vieux, je ne fais que pleurer
Après chaque événement devenu du passé
Voici venu le temps pour moi d'éteindre la flamme
De faire tomber les âmes et de trouver le calme
Pour enfin apaiser mes démons et les drames qui hantent mon âme
Ce jour est arrivé, et c'était hier
Je n'ai jamais aimé vivre la guerre
Mais c'est ainsi, l'unité est première
Je serais tombé si fier, pour mes frères
L'avenir me dira si les dieux ont aimé ma période de jeune et de flow combattant
Et si après ça, oui, j'ai bien tous les codes pour gagner ma place auprès de tous les plus grands
Cette vie qui s'éloigne et tous ces morts présents m'accompagneront pendant un temps
Et que rien n'épargne tous ces rois méprisants, débordants du bris sous les vents
On avance
Avec élégance
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance ?
Moi, je dis qu'on avance
On fait pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
Moi, je dis qu'on avance
Cette vie qui s'éloigne et tous ces morts présents m'accompagneront pendant un temps
Et que rien n'épargne tous ces rois méprisants, débordants du bris sous les vents
On avance
Avec élégance
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance ?
Moi, je dis qu'on avance
On fait pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
Moi, je dis qu'on avance
Avec élégance
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance
Moi, je dis qu'on avance
Avec pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
(Moi, je dis qu'on avance)
(Il paraît qu'on avance)
(Et moi, je dis qu'on avance)
(Et tout le monde avance)
(Et on avance, et on avance)
(Et on fait pénitence)
(Et on avance, et on avance)
Dans des pas de danse
Mais
Mais quelle importance
Moi, je dis qu'on avance
Avec pénitence
Pour sa délivrance
Et à chacun sa chance
(Moi, je dis qu'on avance)
(Il paraît qu'on avance)
(Et moi, je dis qu'on avance)
(Et tout le monde avance)
(Et on avance, et on avance)
(Et on fait pénitence)
(Et on avance, et on avance)
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