Paroles de la chanson Ma place par Mani Deïz
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Paroles de la chanson Ma place par Mani Deïz
[Ol Zico]
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Jours après jours, en quête de repères, j'm'acharne
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Les nerfs lâchent, les péchés du passé m'rattrapent
[Mani Deïz]
Cherche ma place dans ce monde, car dur de vivre avec ses semblable
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Jours après jours, en quête de repères, j'm'acharne
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Les nerfs lâchent, les péchés du passé m'rattrapent
[Mani Deïz]
Cherche ma place dans ce monde, car dur de vivre avec ses semblable
Pour 100 grammes les gars se noient dans l'mensonge
Sans blague les vautours chassent les anges, on passe du rire au larme
Sous alcool vivre dans l'mal les détours cassent les jambes
J'gratte, jette l'encre, dans un métro crade
J'rap, esquive les frères qui parlent trop, sous terre y a pas de légendes
Furieux on attend le sommeil, en attendent un signe des cieux
Comme le soleil l'argent nous grille les yeux
La haine de l'ennui, pousse à l'amour du risque
On s'enivre, on s'enfuit, mais l'temps chaque jour mutile
On rêve de choses futiles, comme des moutons sur bulle d'air
Scrute l'herbe, fusillade suspecte
Sans blague les vautours chassent les anges, on passe du rire au larme
Sous alcool vivre dans l'mal les détours cassent les jambes
J'gratte, jette l'encre, dans un métro crade
J'rap, esquive les frères qui parlent trop, sous terre y a pas de légendes
Furieux on attend le sommeil, en attendent un signe des cieux
Comme le soleil l'argent nous grille les yeux
La haine de l'ennui, pousse à l'amour du risque
On s'enivre, on s'enfuit, mais l'temps chaque jour mutile
On rêve de choses futiles, comme des moutons sur bulle d'air
Scrute l'herbe, fusillade suspecte
Comme un vieux sage ou un coupable, j'porte la barbe
Remballe tes amalgames d'ici, la calvitie ne fait pas le moine
Les erreurs font souffrir, les miens se couchent tard
Mais malgré les preuves on sourit comme dans Intouchables
Le routine harcèle, issus des bâtiments, les mômes chôment
Le ciment chauffe pour des broutilles
Malsaine, on garde cette haine de vivre, derrière les barres de rires
Nargue la vie, rabate sur les bords de Seine
Je suis mort j'le sais, pas encore ils m'portent le mauvais oeil, j m'en sors
C'est en comptant les deuils qu'j'mendors
Aphone car il parait qu'les écrits restent
Remballe tes amalgames d'ici, la calvitie ne fait pas le moine
Les erreurs font souffrir, les miens se couchent tard
Mais malgré les preuves on sourit comme dans Intouchables
Le routine harcèle, issus des bâtiments, les mômes chôment
Le ciment chauffe pour des broutilles
Malsaine, on garde cette haine de vivre, derrière les barres de rires
Nargue la vie, rabate sur les bords de Seine
Je suis mort j'le sais, pas encore ils m'portent le mauvais oeil, j m'en sors
C'est en comptant les deuils qu'j'mendors
Aphone car il parait qu'les écrits restent
Alors pourquoi, la parole comme les feuilles s'envolent ?
Les rêves transportent, pas le temps de geindre, rature les regrets sans s'plaindre
Envoie des prières sans timbre sur l'enveloppe
Dans le froid les gosses des rues sanglotent hélas
Au bord des larmes, tous innocents comme Mandela
Les armes rendent les, hommes lâches, on porte les marques du diable
Mais c'putain d'destin nous guide corps et âmes
Le temps nous sème, trop tard pour une greffe de coeur, mon père se meurt
Et c'est dur de lui dire que j'l'aime...
[Ol Zico] (x2)
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Les rêves transportent, pas le temps de geindre, rature les regrets sans s'plaindre
Envoie des prières sans timbre sur l'enveloppe
Dans le froid les gosses des rues sanglotent hélas
Au bord des larmes, tous innocents comme Mandela
Les armes rendent les, hommes lâches, on porte les marques du diable
Mais c'putain d'destin nous guide corps et âmes
Le temps nous sème, trop tard pour une greffe de coeur, mon père se meurt
Et c'est dur de lui dire que j'l'aime...
[Ol Zico] (x2)
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Jours après jours, en quête de repères, j'm'acharne
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Les nerfs lâchent, les péchés du passé m'rattrapent
Jours après jours, en quête de repères, j'm'acharne
Égaré je cherche ma place
Je mens quand je dis: "t'inquiète je gère, ça s'passe"
Le sablier se vide, les êtres chers s'nachavent
Les nerfs lâchent, les péchés du passé m'rattrapent
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