Paroles de la chanson Jour Après Jour par Marc Seberg
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Paroles de la chanson Jour Après Jour par Marc Seberg
Jour après jour de verre en verre,
et puis de bars de nuit en d'autres verres.
Les rêves s'évanouissent sans bruit
au bout d'un comptoir ivre d'ennui,
ivre de vin, ne plus se mordre les mains.
Tourne et tourne, à l'envers, à l'endroit,
dans des draps sans odeur qui restent toujours froids.
Me détourne, me retourne, à l'étroit, mal à l'aise,
dans des bras sans chaleur qui restent toujours raides.
Le rythme régulier des vagues
ne t'a jamais emmené nulle part.
et puis de bars de nuit en d'autres verres.
Les rêves s'évanouissent sans bruit
au bout d'un comptoir ivre d'ennui,
ivre de vin, ne plus se mordre les mains.
Tourne et tourne, à l'envers, à l'endroit,
dans des draps sans odeur qui restent toujours froids.
Me détourne, me retourne, à l'étroit, mal à l'aise,
dans des bras sans chaleur qui restent toujours raides.
Le rythme régulier des vagues
ne t'a jamais emmené nulle part.
Ces maigres filles que tu entraînes
dans des hôtels de bord de mer,
pour un naufrage en solitaire.
En rage d'en être encore là,
toujours au même endroit.
Sans attache, mais toujours là
ancré au même endroit du rivage
un grain de sable.
Le sable qui coule entre mes mains
sur cette plage, j'espère, enfin
que la marée vienne et m'emmène plus loin.
Tourne et tourne, à l'endroit, à l'envers
dans des bras sans chaleur qui restent toujours raides.
Me détourne, me retourne, à l'étroit, mal à l'aise,
dans des hôtels de bord de mer,
pour un naufrage en solitaire.
En rage d'en être encore là,
toujours au même endroit.
Sans attache, mais toujours là
ancré au même endroit du rivage
un grain de sable.
Le sable qui coule entre mes mains
sur cette plage, j'espère, enfin
que la marée vienne et m'emmène plus loin.
Tourne et tourne, à l'endroit, à l'envers
dans des bras sans chaleur qui restent toujours raides.
Me détourne, me retourne, à l'étroit, mal à l'aise,
dans le flux d'une écume trop légère.
Et tu enrages d'être encore
toujours au même endroit de la grève.
Sans attache mais toujours là,
ancré au même endroit... Que se lève
le vent du large!
Et tu enrages d'être encore
toujours au même endroit de la grève.
Sans attache mais toujours là,
ancré au même endroit... Que se lève
le vent du large!
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