Paroles de la chanson Quand Les Papillons par Marcel Veran
Auteurs: Roland Gael
Compositeurs: J.vercolier
Editeurs: Editions Fortin
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Paroles de la chanson Quand Les Papillons par Marcel Veran
On s’est rencontré le cœur plein de fièvre.
Les yeux égarés de rêves charmants
Le même baiser vous venait aux lèvres
Dans l’enchantement des premiers serments
Ah ! les billets doux peuples de chimères
Les fleurs qu’on effeuille en disant un nom
Tous ces songes bleus sont éphémères ;
On se quitte un jour ne jurez pas non.
R : Quand les papillons fermeront leurs ailes
Les cœurs d’amants seront fidèles ;
Quand les fleurs naîtront seront pour durer toujours
Les chansons d’amour seront éternelles.
Que sont devenues tes belles promesses
Les yeux égarés de rêves charmants
Le même baiser vous venait aux lèvres
Dans l’enchantement des premiers serments
Ah ! les billets doux peuples de chimères
Les fleurs qu’on effeuille en disant un nom
Tous ces songes bleus sont éphémères ;
On se quitte un jour ne jurez pas non.
R : Quand les papillons fermeront leurs ailes
Les cœurs d’amants seront fidèles ;
Quand les fleurs naîtront seront pour durer toujours
Les chansons d’amour seront éternelles.
Que sont devenues tes belles promesses
Et toi tes serments où sont-ils partis ?
Va donc embrasser tes folles maîtresses !
Toi va retrouver tes amants maudits !
On se fait au cœur d'atroces blessures
Oubliant soudain qu'on s'est adorés ;
Puis on se sépare avec des injures.
Vous pensiez en rire et vous en pleurez !
Refrain
Petit à petit la douleur s'efface ;
La haine et l'amour n'ont plus qu'un reflet
Sur votre chemin un (une) autre qui passe,
Porte comme vous son triste regret :
Au bruit des baisers à deux on oublie ;
Pour se consoler on se prend la main ;
Et toujours enfants à travers la vie
On pleure aujourd'hui, pour chanter demain!
Va donc embrasser tes folles maîtresses !
Toi va retrouver tes amants maudits !
On se fait au cœur d'atroces blessures
Oubliant soudain qu'on s'est adorés ;
Puis on se sépare avec des injures.
Vous pensiez en rire et vous en pleurez !
Refrain
Petit à petit la douleur s'efface ;
La haine et l'amour n'ont plus qu'un reflet
Sur votre chemin un (une) autre qui passe,
Porte comme vous son triste regret :
Au bruit des baisers à deux on oublie ;
Pour se consoler on se prend la main ;
Et toujours enfants à travers la vie
On pleure aujourd'hui, pour chanter demain!
Refrain
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