Paroles de la chanson Sur la peau par Marco Moustache
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Paroles de la chanson Sur la peau par Marco Moustache
Les étoiles ont toutes filé
Vers le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Si beau qu’elles deviennent timides
Retiennent leurs rayons
Regardent suspendus dans le vide
Son ombre comme un papillon
Sur la peau
Les ailes au coin des lèvres
Les rêves au bout d’un baiser
Déposé dans ton cou ;
Comme c’est doux d’être fragiles
Facile d’être fous !
Aimer fort
Vers le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Si beau qu’elles deviennent timides
Retiennent leurs rayons
Regardent suspendus dans le vide
Son ombre comme un papillon
Sur la peau
Les ailes au coin des lèvres
Les rêves au bout d’un baiser
Déposé dans ton cou ;
Comme c’est doux d’être fragiles
Facile d’être fous !
Aimer fort
D’éclore en mille fibres
Qui vibrent dans nos cœurs, dans nos corps
Explorer l’intime, la carte au trésor
Qu’une larme dessine câline, sincère
Elle enserre l’abîme de nos yeux échappée
S’évader du jeu et parier sur nous
Du bout des lèvres
Les rêves au coin des ailes d’un baiser-papillon
Sur la peau
On sème
Le sable de nos nuits blanches
Notre revanche est une plage
Etendue de temps étiré
Du bout de tes doigts au bas de mon dos ;
Docile et lente la vie s’allonge sur la peau
Qui vibrent dans nos cœurs, dans nos corps
Explorer l’intime, la carte au trésor
Qu’une larme dessine câline, sincère
Elle enserre l’abîme de nos yeux échappée
S’évader du jeu et parier sur nous
Du bout des lèvres
Les rêves au coin des ailes d’un baiser-papillon
Sur la peau
On sème
Le sable de nos nuits blanches
Notre revanche est une plage
Etendue de temps étiré
Du bout de tes doigts au bas de mon dos ;
Docile et lente la vie s’allonge sur la peau
Les ailes au coin des lèvres
Les rêves au bout d’un baiser
Déposé sur ton front ;
Tout au fond nos ferveurs, elles font nos doutes
Nos bouches écoutent, goûtent le sel du vague à l’âme
Avalent la trame du drame
Elles ne parlent pas, elles charment
Laissent la trace de la sève, d’une somme
Un peu de sucre sur nos sourcils…
Et quelques « si » que l’on susurre
Du bout des lèvres
Les rêves au coin des ailes d’un baiser-papillon
Sur la peau
On sème
Le sable de nos nuits blanches
Les rêves au bout d’un baiser
Déposé sur ton front ;
Tout au fond nos ferveurs, elles font nos doutes
Nos bouches écoutent, goûtent le sel du vague à l’âme
Avalent la trame du drame
Elles ne parlent pas, elles charment
Laissent la trace de la sève, d’une somme
Un peu de sucre sur nos sourcils…
Et quelques « si » que l’on susurre
Du bout des lèvres
Les rêves au coin des ailes d’un baiser-papillon
Sur la peau
On sème
Le sable de nos nuits blanches
Notre revanche est une plage
Etendue de temps étiré
Du bout de tes doigts au bas de mon dos ;
Docile et lente la vie s’allonge sur la peau
Sur la peau
Les ailes
Des baisers-papillons
Eparpillent l’ombre de nos rêves
Lithographie d’une liberté tracée
Du bout de mes lèvres au bas de ton dos
Splendide et grand l’amour s’allonge sur la peau
Etendue de temps étiré
Du bout de tes doigts au bas de mon dos ;
Docile et lente la vie s’allonge sur la peau
Sur la peau
Les ailes
Des baisers-papillons
Eparpillent l’ombre de nos rêves
Lithographie d’une liberté tracée
Du bout de mes lèvres au bas de ton dos
Splendide et grand l’amour s’allonge sur la peau
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