Paroles de la chanson Sur le feu par Marco Moustache
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Paroles de la chanson Sur le feu par Marco Moustache
Partout les mots crépitent quand le sort nous consume
Quand tous nos soupirs fument
Des envies d’envol
Des désirs d’en haut
Dessinent un halo
Un cri lumineux d’existence folle
Entre nos pierres le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Entre nos pierres l’espoir qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Sur le feu
Je brûle le passé avant qu’il ne se transforme
En remord glacé sur le baryté difforme
Quand tous nos soupirs fument
Des envies d’envol
Des désirs d’en haut
Dessinent un halo
Un cri lumineux d’existence folle
Entre nos pierres le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Entre nos pierres l’espoir qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Sur le feu
Je brûle le passé avant qu’il ne se transforme
En remord glacé sur le baryté difforme
De ma mémoire
Je ne veux pas me rendre à ma mémoire
Je brûle tous les regards, ces juges qui ont pour loi
La norme jusque dans l’art, la mort dans l’âme, jamais ne voient
Le beau, l’élan
Ils ne peuvent pas nous prendre le beau, l’élan
Sur le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Je brûle les contes de fées, ces donjons pour enfants
Faits de bonheurs genrés qui empêchent de devenir grand
Je ne veux pas me rendre à ma mémoire
Je brûle tous les regards, ces juges qui ont pour loi
La norme jusque dans l’art, la mort dans l’âme, jamais ne voient
Le beau, l’élan
Ils ne peuvent pas nous prendre le beau, l’élan
Sur le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Je brûle les contes de fées, ces donjons pour enfants
Faits de bonheurs genrés qui empêchent de devenir grand
A l’intérieur
Car oui, on peut s’y pendre à l’intérieur
Je brûle tous les compteurs qui ne savent pas compter ;
Pas d’argent dans le cœur, le temps n’est pas une unité
Pour être vivant
Parfois il faut attendre pour être vivant
Sur le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Je brûle toutes les images
Celles qui déçoivent dans la glace
Celles qui sortent pas sans maquillage
Celles qui sourient à notre place
En 16/9, en 4x3
Car oui, on peut s’y pendre à l’intérieur
Je brûle tous les compteurs qui ne savent pas compter ;
Pas d’argent dans le cœur, le temps n’est pas une unité
Pour être vivant
Parfois il faut attendre pour être vivant
Sur le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Je brûle toutes les images
Celles qui déçoivent dans la glace
Celles qui sortent pas sans maquillage
Celles qui sourient à notre place
En 16/9, en 4x3
L’idéal de bêtise pure ;
Ce qui te pousse loin de toi ce n’est pas de la culture
Les images chics, choc, types, top, modes et tendances
Celles qui vendent des vacances sans jamais nous en faire
Les détournées, détonantes, désespérantes
Qui enterrent nos cerveaux, violent nos imaginaires
Je brûle la reine de pique
Qui embroche les cœurs
Sur son sillon oblique ;
Ainsi percés par la peur
Comment aimer ?
Quand on se détourne sans comprendre comment aimer ?
Ce qui te pousse loin de toi ce n’est pas de la culture
Les images chics, choc, types, top, modes et tendances
Celles qui vendent des vacances sans jamais nous en faire
Les détournées, détonantes, désespérantes
Qui enterrent nos cerveaux, violent nos imaginaires
Je brûle la reine de pique
Qui embroche les cœurs
Sur son sillon oblique ;
Ainsi percés par la peur
Comment aimer ?
Quand on se détourne sans comprendre comment aimer ?
Je brûle les feuilles mortes
Et je remplis ma pelle
De bonheurs de toutes sortes
Pour te construire face au ciel une terrasse depuis laquelle
Les étoiles verront briller
Le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
Et je remplis ma pelle
De bonheurs de toutes sortes
Pour te construire face au ciel une terrasse depuis laquelle
Les étoiles verront briller
Le feu qui jamais ne réduit nos rêves en cendres
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