Paroles de la chanson Quelques centimes par Marie-Flore
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Paroles de la chanson Quelques centimes par Marie-Flore
J'ai jeté dans ta ville, dans chaque fontaine quelques centimes
Fait un voeu dans chaque rue, où j'aurais juré t'avoir vu
Mais c'est qu'il est étroit ce trottoir,
Proche de la mer, près des amarres
Et j'reconnais que je t'ai reconnu, que j'ai fait comme si j't'avais pas vu
Mais depuis - depuis, j'ai largué ma béquille
Tu vois, j'maitrise bien les figures de style
Et j'ai fait du mieux que j'ai pu,
pour ne plus croire en ce que j'ai cru
Mais c'est qu'il était étroit c'trottoir,
Trop - pour juste t'y croiser par hasard
Fait un voeu dans chaque rue, où j'aurais juré t'avoir vu
Mais c'est qu'il est étroit ce trottoir,
Proche de la mer, près des amarres
Et j'reconnais que je t'ai reconnu, que j'ai fait comme si j't'avais pas vu
Mais depuis - depuis, j'ai largué ma béquille
Tu vois, j'maitrise bien les figures de style
Et j'ai fait du mieux que j'ai pu,
pour ne plus croire en ce que j'ai cru
Mais c'est qu'il était étroit c'trottoir,
Trop - pour juste t'y croiser par hasard
Et j'reconnais que je t'ai reconnu, que j'ai fait comme si j't'avais pas vu
Flottait il y a un an tout pile, du linge aux fenêtres, au tancarville
Et toi coincé au coin d'une rue,
toi, toi qui n'en a jamais rien su
Mon dieu, qu'il est cruel ce miroir,
Qui montre, le peu de moi qui reste à voir
Comme tes facettes de toutes façons,
un jour génie, un jour gros con
J'ai jeté dans ta ville, dans chaque fontaine quelques centimes
Fait voeu pieu dans chaque rue,
et promis qu'en douce j'te voyais plus
Flottait il y a un an tout pile, du linge aux fenêtres, au tancarville
Et toi coincé au coin d'une rue,
toi, toi qui n'en a jamais rien su
Mon dieu, qu'il est cruel ce miroir,
Qui montre, le peu de moi qui reste à voir
Comme tes facettes de toutes façons,
un jour génie, un jour gros con
J'ai jeté dans ta ville, dans chaque fontaine quelques centimes
Fait voeu pieu dans chaque rue,
et promis qu'en douce j'te voyais plus
Mais, c'est qu'il est étroit ce trottoir,
Je ne vois, plus qu'toi derrière tes lunettes noires
Et j'reconnais que je t'ai reconnu, même si j'en parle ici n'en parlons plus
Mais depuis - depuis j'ai quitté la ville,
Dévalé vallons et collines
Et dans chacune des avenues,
Passé toutes nos impasses en revue,
Mais c'est qu'ils sont étroits ces trottoirs,
C'est, qu'j'suis pas ta visiteur du soir
Et je reconnais que je t'ai reconnu,
et, j'ai pas pu faire un pas de plus
Alors - Je jetterai dans ta ville, dans chaque fontaine quelques centimes
Ferai un voeu dans chaque rue, puis dans celle où t'es apparu
Je ne vois, plus qu'toi derrière tes lunettes noires
Et j'reconnais que je t'ai reconnu, même si j'en parle ici n'en parlons plus
Mais depuis - depuis j'ai quitté la ville,
Dévalé vallons et collines
Et dans chacune des avenues,
Passé toutes nos impasses en revue,
Mais c'est qu'ils sont étroits ces trottoirs,
C'est, qu'j'suis pas ta visiteur du soir
Et je reconnais que je t'ai reconnu,
et, j'ai pas pu faire un pas de plus
Alors - Je jetterai dans ta ville, dans chaque fontaine quelques centimes
Ferai un voeu dans chaque rue, puis dans celle où t'es apparu
Mon dieu, qu'il est étroit ce trottoir,
Proche de la mer, près des amarres,
Aussi vaste qu'un trou noir,
Aussi vrai que la vie est le fruit du hasard,
Mon dieu - qu'il était étroit ce trottoir
Proche de la mer, près des amarres,
Aussi vaste qu'un trou noir,
Aussi vrai que la vie est le fruit du hasard,
Mon dieu - qu'il était étroit ce trottoir
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