Paroles de la chanson Le Computeur par Marie Laforet
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Paroles de la chanson Le Computeur par Marie Laforet
Érotique,
L'enfant qui mange des fleurs à pleines dents
Exotiques,
Les peines de cœur et la joie des élans
Hermétique,
L'homme seul qui cherche où va ce temps
Où conduit le fleuve, où va le vent
Vers la vie qui nous attend
Je ne sais plus
Si le temps
Des amours "est morte"
Si le temps
A fermé les portes
Du printemps
Que ces temps emportent
L'enfant qui mange des fleurs à pleines dents
Exotiques,
Les peines de cœur et la joie des élans
Hermétique,
L'homme seul qui cherche où va ce temps
Où conduit le fleuve, où va le vent
Vers la vie qui nous attend
Je ne sais plus
Si le temps
Des amours "est morte"
Si le temps
A fermé les portes
Du printemps
Que ces temps emportent
Depuis longtemps
Psychiatriques,
Les chemins des simples souvenirs d'enfant
Algébriques,
La douceur et le parfum d'un lilas blanc
Artistiques,
Ces cercueils de morts d'acier trempé
Des pleurs de mes cauchemars passés
De mes rêves oubliés
Je ne sais plus
Si le temps
Des amours "est morte"
Si le temps
A fermé les portes
Du printemps
Que ces temps emportent
Psychiatriques,
Les chemins des simples souvenirs d'enfant
Algébriques,
La douceur et le parfum d'un lilas blanc
Artistiques,
Ces cercueils de morts d'acier trempé
Des pleurs de mes cauchemars passés
De mes rêves oubliés
Je ne sais plus
Si le temps
Des amours "est morte"
Si le temps
A fermé les portes
Du printemps
Que ces temps emportent
Depuis longtemps
Entre mes flancs
Je sais un monde
Où les chevaux sont blancs
Où la Terre est ronde
Je t'ai construit un pays
Oh ! Viens, viens, viens, viens
Atlantiques,
Nos deux corps qui se naufragent dans l'amour
Antarctique,
Mon désert trop blanc pour le bruit des tambours
Amérique,
Où nulle fleur ne défie les tours
Rivages vierges de notre amour
Loin de ces temps pour toujours
Entre mes flancs
Je sais un monde
Où les chevaux sont blancs
Où la Terre est ronde
Je t'ai construit un pays
Oh ! Viens, viens, viens, viens
Atlantiques,
Nos deux corps qui se naufragent dans l'amour
Antarctique,
Mon désert trop blanc pour le bruit des tambours
Amérique,
Où nulle fleur ne défie les tours
Rivages vierges de notre amour
Loin de ces temps pour toujours
Viens avec moi
Voir le temps
Des fleurs qui m'apportent
Le printemps
Qui ouvre les portes
Vers un temps
Où l'amour nous porte
Pour très longtemps
Longtemps {ad lib}
Voir le temps
Des fleurs qui m'apportent
Le printemps
Qui ouvre les portes
Vers un temps
Où l'amour nous porte
Pour très longtemps
Longtemps {ad lib}
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