Paroles de la chanson Attendre l'été par Marie Minet
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Paroles de la chanson Attendre l'été par Marie Minet
Tu te souviens de nos virées nocturnes
On cramait notre sommeil, comme on crame une fortune
On passait des nuits sans réveil à poursuivre la lune
A flamber notre oseille sans aucune amertume
On était gracieux, on était monstrueux
On était tour à tour amoureux, séparés paresseux
Acteur, chanteur, danseur, frères et soeurs
Parfois même médecins mais jamais collégiens
Chaque jour était nouveau, et sans précédents
Il n'y avait pas d'hiver, il n'y avait pas de printemps
On ne se disait jamais que c'était mieux avant
Il n'y avait pas d'hier, il n'y avait que le présent
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Reste calme et silencieux comme un grand
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Il n'y avait pas d'hier, il n'y avait que le présent
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Reste calme et silencieux comme un grand
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Reste calme et silencieux comme un grand
C'était peut-être ça finalement, notre privilège
Fabriquer des bateaux en polystyrène
Construire des avions en papier par centaines
Les abandonner aussitôt, et voir où ça nous mène
Courir comme des cons, et tomber du manège
Attendre l'été attendre la neige
Tu te souviens, dis-moi, tu te souviens
Ça parait lointain, on était des gamins
Des boutons sur la tronche, et les genoux dans les ronces
A crier pour un rien, a crier au triomphe
On inventait toujours des histoires sans lendemain
C'était peut-être ça finalement, notre privilège
Fabriquer des bateaux en polystyrène
Construire des avions en papier par centaines
Les abandonner aussitôt, et voir où ça nous mène
Courir comme des cons, et tomber du manège
Attendre l'été attendre la neige
Tu te souviens, dis-moi, tu te souviens
Ça parait lointain, on était des gamins
Des boutons sur la tronche, et les genoux dans les ronces
A crier pour un rien, a crier au triomphe
On inventait toujours des histoires sans lendemain
On était tout, on était rien
C'etait beau putain c'était bien
Mais après, qu'est ce qu'on devient ?
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Reste calme et silencieux comme un grand
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
C'etait beau putain c'était bien
Mais après, qu'est ce qu'on devient ?
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Reste calme et silencieux comme un grand
Je repense soudain aux jours heureux
Comme si c'était hier, comme si c'était demain
Lorsque qu'on nous répétait, du soir au matin,
Ce même putain de refrain
Fais pas le con, sois pas chiant, fais pas l'enfant
Reste calme et silencieux comme un grand
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