Paroles de la chanson Comme Les Princes Travestis par Marie-Paule Belle
Auteurs: Michel Grisolia,Francoise Mallet Joris
Compositeurs: Marie Paule Belle
Editeurs: Emma Productions
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Paroles de la chanson Comme Les Princes Travestis par Marie-Paule Belle
Comme les princes travestis
Je m'habille de confettis, de confettis
De loin, mes contours sont précis
De près s'estompe le tableau
Je suis le masque et la peau
Suis-je Pierrot ou Colombine ?
Suis-je Colombine ou Pierrot ?
L'incertitude qui me mine
Je m'en moque dans les bistrots
Et quand ma musique s'affine
Exprès je la chante un peu faux
Sous ma vivacité latine
Je cache un cœur presque mélo, presque mélo
Toujours les miroirs m'ont trahie
Je m'habille de confettis, de confettis
De loin, mes contours sont précis
De près s'estompe le tableau
Je suis le masque et la peau
Suis-je Pierrot ou Colombine ?
Suis-je Colombine ou Pierrot ?
L'incertitude qui me mine
Je m'en moque dans les bistrots
Et quand ma musique s'affine
Exprès je la chante un peu faux
Sous ma vivacité latine
Je cache un cœur presque mélo, presque mélo
Toujours les miroirs m'ont trahie
Comme les princes travestis, travestis
Quand les bals s'éteignaient en pluie
Les rires sous les dominos
J'étais le masque et la peau
Suis-je Pierrot ou Colombine ?
Suis-je Colombine ou Pierrot ?
Mon cœur est pur comme l'hermine
Mais mon corps, il faut ce qu'il faut !
J'ai rêvé d'amours platoniques
Dans des poèmes sans défaut
Et j'en ai ri d'un air critique
En les salissant de gros mots, de gros mots
Toujours vêtue de confettis
Sans savoir jamais qui je suis, qui je suis
Mon visage reste imprécis
Et sous les cyprès du jardin
Quand les bals s'éteignaient en pluie
Les rires sous les dominos
J'étais le masque et la peau
Suis-je Pierrot ou Colombine ?
Suis-je Colombine ou Pierrot ?
Mon cœur est pur comme l'hermine
Mais mon corps, il faut ce qu'il faut !
J'ai rêvé d'amours platoniques
Dans des poèmes sans défaut
Et j'en ai ri d'un air critique
En les salissant de gros mots, de gros mots
Toujours vêtue de confettis
Sans savoir jamais qui je suis, qui je suis
Mon visage reste imprécis
Et sous les cyprès du jardin
Un masque est mort ce matin
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