Paroles de la chanson Regarde par Marion Roch
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Paroles de la chanson Regarde par Marion Roch
Je me souviens du jour où il m’a dit
je me sentais comme une apprentie
il m’a dit c’est simple si tu as envie
il suffit de trouver les bons outils
c’est con mais j’ai chialé
je ne savais pas moi que je pouvais
avoir une autre façon de penser
une façon plus à moi d’aimer
je ne savais pas que j’avais le droit
d’avoir des rêves plus grand que moi
moi je ne savais que c’était comme ça
juste en claquant des doigts
Et puis regarde, où j’en suis regarde
À nos espérances criardes
À ces années fêtards
Et puis j’ai pris mes cliques et mes claques
je me sentais comme une apprentie
il m’a dit c’est simple si tu as envie
il suffit de trouver les bons outils
c’est con mais j’ai chialé
je ne savais pas moi que je pouvais
avoir une autre façon de penser
une façon plus à moi d’aimer
je ne savais pas que j’avais le droit
d’avoir des rêves plus grand que moi
moi je ne savais que c’était comme ça
juste en claquant des doigts
Et puis regarde, où j’en suis regarde
À nos espérances criardes
À ces années fêtards
Et puis j’ai pris mes cliques et mes claques
et je n’ai pas pleuré en faisant mon sac
mais j’en ai versé des larmes de joie
quand j’ai vu ma vie en face de moi
ça a été long, ça a été dur
j’ai essuyé des reproches et des injures
là où j’en attendais le moins
là où je croyais que c’était solide en fait ça ne tenait plus à rien
j’en ai versé des larmes de joie
j’en ai versé des larmes de toi
Il y a tant de choses que j’aurais voulu qu’on me dise
quand je me noyais dans une baignoire de méprise
quand ma vie ressemblait à un tas de regards internes
je me sentais libre , ivre, que dans la fête
on m’attachait à des fils invisibles et tranchants
mais j’en ai versé des larmes de joie
quand j’ai vu ma vie en face de moi
ça a été long, ça a été dur
j’ai essuyé des reproches et des injures
là où j’en attendais le moins
là où je croyais que c’était solide en fait ça ne tenait plus à rien
j’en ai versé des larmes de joie
j’en ai versé des larmes de toi
Il y a tant de choses que j’aurais voulu qu’on me dise
quand je me noyais dans une baignoire de méprise
quand ma vie ressemblait à un tas de regards internes
je me sentais libre , ivre, que dans la fête
on m’attachait à des fils invisibles et tranchants
puis j’ai compris que c’était moi qui les tissais depuis longtemps
alors à grand coups de grande geste et de grandes gueules
j’ai retourné ma veste, je me suis retrouvé toute seule
il n’y avait personne
Et puis tu vois les années passent
et te voila bien en face
j’ai pas oublié tes petits regards et puis tes airs d’un soir
nos virées interdites, l’hilarité de nos réveils insolites
et quand tu me prenais la main
tu me disais , faut que je te présente viens,
on en a fait de km et des dénouements dans ma tête
j’en ai déversé des regards sans promesse
alors à grand coups de grande geste et de grandes gueules
j’ai retourné ma veste, je me suis retrouvé toute seule
il n’y avait personne
Et puis tu vois les années passent
et te voila bien en face
j’ai pas oublié tes petits regards et puis tes airs d’un soir
nos virées interdites, l’hilarité de nos réveils insolites
et quand tu me prenais la main
tu me disais , faut que je te présente viens,
on en a fait de km et des dénouements dans ma tête
j’en ai déversé des regards sans promesse
et puis à chialer toute seule dans ma caisse
Avec ta gueule là, à faire comme si tu tremblais pas
Avec la gueule là , tu ne me la fait pas à moi .
Avec ta gueule là, à faire comme si tu tremblais pas
Avec la gueule là , tu ne me la fait pas à moi .
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