Paroles de la chanson Mains Sales par Marlone & Wayn3
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Paroles de la chanson Mains Sales par Marlone & Wayn3
Envoie la money, man
Tout pour le purple
L’amour du bâtiment
Pour nous faire, seuls
On s’est fait quasiment
À force d’être trop dans la ville
Donc envoie la money, man
Que j’fasse brûler ton avis
Partout, c’est la même : ça charbonne, été comme hiver
Je peux pas changer ça, j’ai les mains sales, à cause du Bando
Je fais ça facilement : je prends des mots et je les fais rimer
Tout pour le purple
L’amour du bâtiment
Pour nous faire, seuls
On s’est fait quasiment
À force d’être trop dans la ville
Donc envoie la money, man
Que j’fasse brûler ton avis
Partout, c’est la même : ça charbonne, été comme hiver
Je peux pas changer ça, j’ai les mains sales, à cause du Bando
Je fais ça facilement : je prends des mots et je les fais rimer
Elle trouve ça fascinant, donc elle veut monter dans la Benzo
Réveille-toi,
Je cours après le cash, je n’peux pas courir après toi
Et depuis le temps
J’ai toujours le même gang
Je n’ai jamais changé de camp
J’ai caché mon trésor
Au fond de la mer
Le sourire au lèvres, et quand j’ai mal : genou à terre
Poto, y’a plus d’issues
Gagner : la seule solution
Réveille-toi,
Je cours après le cash, je n’peux pas courir après toi
Et depuis le temps
J’ai toujours le même gang
Je n’ai jamais changé de camp
J’ai caché mon trésor
Au fond de la mer
Le sourire au lèvres, et quand j’ai mal : genou à terre
Poto, y’a plus d’issues
Gagner : la seule solution
Je me suis beaucoup battu, avant d’arriver ici
Au studio, j’envoie mélo
Je crois bien que je suis fait pour ça
Dans la vente depuis Mino
J’me suis jamais venté de ça
En bas de chez moi, j’entends les « pim-pon »
Histoires de tal-bins
Ça fait bien longtemps
Que je ne suis plus un gamin
J’ai du mal à dire pardon
Mais je ne suis qu’un homme
J’ai fais des fautes, ouais
Ça fait mon charme
Envoie la money, man
Au studio, j’envoie mélo
Je crois bien que je suis fait pour ça
Dans la vente depuis Mino
J’me suis jamais venté de ça
En bas de chez moi, j’entends les « pim-pon »
Histoires de tal-bins
Ça fait bien longtemps
Que je ne suis plus un gamin
J’ai du mal à dire pardon
Mais je ne suis qu’un homme
J’ai fais des fautes, ouais
Ça fait mon charme
Envoie la money, man
Tout pour le purple
L’amour du bâtiment
Pour nous faire, seuls
On s’est fait quasiment
À force d’être trop dans la ville
Donc envoie la money, man
Que j’fasse brûler ton avis
Partout, c’est la même : ça charbonne, été comme hiver
Je peux pas changer ça, j’ai les mains sales, à cause du Bando,
Je fais ça facilement : je prends des mots et je les fais rimer
Elle trouve ça fascinant, donc elle veut monter dans la Benzo
L’amour du bâtiment
Pour nous faire, seuls
On s’est fait quasiment
À force d’être trop dans la ville
Donc envoie la money, man
Que j’fasse brûler ton avis
Partout, c’est la même : ça charbonne, été comme hiver
Je peux pas changer ça, j’ai les mains sales, à cause du Bando,
Je fais ça facilement : je prends des mots et je les fais rimer
Elle trouve ça fascinant, donc elle veut monter dans la Benzo
En 2-2, j’fonce dans la mêlée
Dis bien aux autres qu’ils n’ont pas en s’en mêler
Comme prince de sang-mêlé
J’ai la magie, j’ai la mélo
Tu commentes, tu finis chez l’kiné
On l’oublie pas, comme le vélo
Tout est carré comme un Kiri
J’vais tout baiser, comme l’a fait l’autre
Y’a que mon cœur qui est pas guéri
2-22
J’arrive, j’les baise, je les feinte
J’ai ni 18, ni les 22
J’sais que si j’arrive, eh bien c’est fin d’eux
Dis bien aux autres qu’ils n’ont pas en s’en mêler
Comme prince de sang-mêlé
J’ai la magie, j’ai la mélo
Tu commentes, tu finis chez l’kiné
On l’oublie pas, comme le vélo
Tout est carré comme un Kiri
J’vais tout baiser, comme l’a fait l’autre
Y’a que mon cœur qui est pas guéri
2-22
J’arrive, j’les baise, je les feinte
J’ai ni 18, ni les 22
J’sais que si j’arrive, eh bien c’est fin d’eux
Yeah, yeah, yeah
Té-mon dans la BM, ah ouais, babe
C’est un jeu, pour des gosses, c’est les Bay-blades
Té-ma dans les paris, on est perdant
Mais tu nous connais, on est Fair-play
On s’est croisé dans la ville, mais moi j’ai pas ton temps
À voir, si les autres avancent
Gouttes qui tombent, sur la vitre avant
Avant…
Tout pour le purple
Pour nous faire, seuls
À force d’être trop dans la ville
Que j’fasse brûler ton avis
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