Paroles de la chanson Erlenmeyer par Matmatah
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Paroles de la chanson Erlenmeyer par Matmatah
La morsure est certaine
Comme l’impermanence
La mort sûre et sereine
Quelle que soit l’obédience
A force d’amalgame
Marions ces fragrances
Réactivons les flammes
Pour peu qu’il nous reste encore un peu de bienveillance
Aux plus offrants, j’ai vendu tous nos secrets
Grillé nos couvertures, sauvé nos intérêts
Retourné ma veste sans aucun regret
Avisé la censure de nos idées, avalisé, tout validé
Rumeurs irréparables, humeurs inopérables
Comme l’impermanence
La mort sûre et sereine
Quelle que soit l’obédience
A force d’amalgame
Marions ces fragrances
Réactivons les flammes
Pour peu qu’il nous reste encore un peu de bienveillance
Aux plus offrants, j’ai vendu tous nos secrets
Grillé nos couvertures, sauvé nos intérêts
Retourné ma veste sans aucun regret
Avisé la censure de nos idées, avalisé, tout validé
Rumeurs irréparables, humeurs inopérables
A l’aube on peine encore à distinguer ce qui se trame
Laissons se nouer le drame, acceptons l’impensable
Tout n’est que leurre, tout n’est que leurre et légèreté
Voici que l’heure, voici que l’heure a sonné
Tout n’est que leurre, tout n’est que leur cupidité
Ce n’est que leur, ne n’est que leur immunité
Tout n’est que leurre, tout n’est que leurre et légèreté
Depuis le fond des calderas jusqu’aux derniers instants
Noir d’éclat d’obsidienne que l’Hekla ne retienne
Laissons se nouer le drame, acceptons l’impensable
Tout n’est que leurre, tout n’est que leurre et légèreté
Voici que l’heure, voici que l’heure a sonné
Tout n’est que leurre, tout n’est que leur cupidité
Ce n’est que leur, ne n’est que leur immunité
Tout n’est que leurre, tout n’est que leurre et légèreté
Depuis le fond des calderas jusqu’aux derniers instants
Noir d’éclat d’obsidienne que l’Hekla ne retienne
A vouloir se bander les yeux, à vouloir ignorer le temps
Au loin s’abattent pour des siècles les colères diluviennes
La morsure est certaine
Sadie, Sadie tu calcines
Incinère in vivo
Sadie, Sadie je décline
A l’ouest rien de nouveau
Sadie, Sadie tu t’échines
Dans mes bras, zéro
Sadie, Sadie je m’incline
Sous l’œil séduisant des fédéraux
N’écartez aucune pise
Appelez la scientifique
Vos meilleurs analystes
Dites leur qu’ils rappliquent fissa, fissa
Au loin s’abattent pour des siècles les colères diluviennes
La morsure est certaine
Sadie, Sadie tu calcines
Incinère in vivo
Sadie, Sadie je décline
A l’ouest rien de nouveau
Sadie, Sadie tu t’échines
Dans mes bras, zéro
Sadie, Sadie je m’incline
Sous l’œil séduisant des fédéraux
N’écartez aucune pise
Appelez la scientifique
Vos meilleurs analystes
Dites leur qu’ils rappliquent fissa, fissa
Rameutez vos légistes
Cellules psychologiques
Restons optimistes
J’ai falsifié les résultats de la balistique
De sémaphore en sémaphore
J’ai oublié comme on avance
Comme on ranime les corps morts
Aux derniers points d’incandescence
Alors que le champ des possibles
N’est plus qu’une sombre tourbière
Où tout nous semble irréversible
Telle une éternelle jachère
Je vois que tu me cibles
Du haut de ta falaise
J’attends que tu me cribles
Que tu m’achèves, que tu m’apaises
Mais si jamais on s’en tire
Cellules psychologiques
Restons optimistes
J’ai falsifié les résultats de la balistique
De sémaphore en sémaphore
J’ai oublié comme on avance
Comme on ranime les corps morts
Aux derniers points d’incandescence
Alors que le champ des possibles
N’est plus qu’une sombre tourbière
Où tout nous semble irréversible
Telle une éternelle jachère
Je vois que tu me cibles
Du haut de ta falaise
J’attends que tu me cribles
Que tu m’achèves, que tu m’apaises
Mais si jamais on s’en tire
Si jamais on s’en tire …
Si jamais on s’en tire …
Si jamais … qui sait ?
Et tant qu’à faire, faudrait qu’on danse
Si ce n’est pas trop demander, faudrait qu’on pense
A liquider les dernières cornes d’abondance
A se goinfrer, contempler l’imminence
Et tant qu’à faire, faudrait qu’on danse
Si ce n’est pas trop demander, faudrait qu’on pense
A renouveler notre certificat d’existence
Oserions-nous tenter à nouveau l’expérience ?
Houston? You have a problem
A l’aube on crève, on achève nos peurs
Si jamais on s’en tire …
Si jamais … qui sait ?
Et tant qu’à faire, faudrait qu’on danse
Si ce n’est pas trop demander, faudrait qu’on pense
A liquider les dernières cornes d’abondance
A se goinfrer, contempler l’imminence
Et tant qu’à faire, faudrait qu’on danse
Si ce n’est pas trop demander, faudrait qu’on pense
A renouveler notre certificat d’existence
Oserions-nous tenter à nouveau l’expérience ?
Houston? You have a problem
A l’aube on crève, on achève nos peurs
Je nous entends déjà dire qu’on ne savait pas
On se dédouane, on se dit qu’il y aurait un ailleurs
Je nous entends déjà dire qu’on ne savait pas
Et l’on persiste à dire qu’on ne savait pas
Et l’on persiste à rire, on ne savait pas
On se dédouane, on se dit qu’il y aurait un ailleurs
Je nous entends déjà dire qu’on ne savait pas
Et l’on persiste à dire qu’on ne savait pas
Et l’on persiste à rire, on ne savait pas
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