Paroles de la chanson Les Gros Mots par Matthieu Horla
Auteurs: Nimier,Illouz
Compositeurs: Horla
Editeurs: Universal Music Publishing
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Paroles de la chanson Les Gros Mots par Matthieu Horla
Chère amie laissez-moi vous dire
Combien votre calme m'effraie
Comment pouvez-vous sans maudire
Accepter le monde tel qu'il est
Sous votre peau je sens frémir
De très belles capacités
Ces yeux vifs et votre sourire
Sont des promesses de succès
Ecoutez bien ça va partir
Après moi vous réciterez
Ou vous inventerez, c'est pire
Ou c'est mieux, comme vous le voudrez
Pour les affronts, pour le mépris
Ordure, salaud
Pour l'indifférence et l'oubli
Enflure, crapaud
Combien votre calme m'effraie
Comment pouvez-vous sans maudire
Accepter le monde tel qu'il est
Sous votre peau je sens frémir
De très belles capacités
Ces yeux vifs et votre sourire
Sont des promesses de succès
Ecoutez bien ça va partir
Après moi vous réciterez
Ou vous inventerez, c'est pire
Ou c'est mieux, comme vous le voudrez
Pour les affronts, pour le mépris
Ordure, salaud
Pour l'indifférence et l'oubli
Enflure, crapaud
Aux blanchisseurs en gants de cuir
Un doigt, et sans honneur
Associant le geste et le dire
Ignorant la peur
Vous verrez comme ça fait du bien
Bordel de merde et putain
Ça vous remplit toute la bouche
Y'a que les cons que ça effarouche
Cracher à la face du monde
Tous ces mots qu'il a mérités
Des siècles de colère qui grondent
Par votre bouche vont exploser
Vous voyez que ça vient madame
Plus vite que vous ne l'imaginez
En votre conscience et votre âme
Vous nous égrenez vos chapelets
Des invectives, des anathèmes
Un doigt, et sans honneur
Associant le geste et le dire
Ignorant la peur
Vous verrez comme ça fait du bien
Bordel de merde et putain
Ça vous remplit toute la bouche
Y'a que les cons que ça effarouche
Cracher à la face du monde
Tous ces mots qu'il a mérités
Des siècles de colère qui grondent
Par votre bouche vont exploser
Vous voyez que ça vient madame
Plus vite que vous ne l'imaginez
En votre conscience et votre âme
Vous nous égrenez vos chapelets
Des invectives, des anathèmes
Vous pensiez en connaître moins
Vous vous roulez dans le blasphème
Comme le ferait un petit chien
Pour l'arrogance militaire
Crétins, cabots
Et les blessures de la terre
Crapules, salauds
Aux intolérants les mains vides
Ils l'auront bien cherché
Il suffit pas d'être stupide
Pour être excusé
Vous verrez comme ça fait du bien
Bordel de merde et putain
Ça vous remplit toute la bouche
Y'a que les cons que ça effarouche
Et quand votre interlocuteur
A la fin aura bien compris
Vous vous roulez dans le blasphème
Comme le ferait un petit chien
Pour l'arrogance militaire
Crétins, cabots
Et les blessures de la terre
Crapules, salauds
Aux intolérants les mains vides
Ils l'auront bien cherché
Il suffit pas d'être stupide
Pour être excusé
Vous verrez comme ça fait du bien
Bordel de merde et putain
Ça vous remplit toute la bouche
Y'a que les cons que ça effarouche
Et quand votre interlocuteur
A la fin aura bien compris
Vous pouvez accepter ses fleurs
Dans un accès de courtoisie
Voue rêverez de jours meilleurs
Où les gros mots ce sera lui
Qui, au plus fort de son bonheur
Vous les susurrera la nuit
En bravant votre éducation
C'est votre coeur qui s'est ouvert
C'est qu'il y a des contradictions
Parfois dans le vocabulaire…
Dans un accès de courtoisie
Voue rêverez de jours meilleurs
Où les gros mots ce sera lui
Qui, au plus fort de son bonheur
Vous les susurrera la nuit
En bravant votre éducation
C'est votre coeur qui s'est ouvert
C'est qu'il y a des contradictions
Parfois dans le vocabulaire…
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