Paroles de la chanson Il Pleurait par Maurice Chevalier
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Paroles de la chanson Il Pleurait par Maurice Chevalier
Il arriva au monde un jour de pluie
Pendant qu' sa mère épluchait des oignons
C'est pour cela que plus tard dans la vie
Dans toutes les grandes occasions
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
Comme il avait du goût pour les études
Par protection, quand il eut cinquante ans
Il décrocha le prix d'exactitude
Mais au lieu d'être content
Pendant qu' sa mère épluchait des oignons
C'est pour cela que plus tard dans la vie
Dans toutes les grandes occasions
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
Comme il avait du goût pour les études
Par protection, quand il eut cinquante ans
Il décrocha le prix d'exactitude
Mais au lieu d'être content
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
Pour applaudir le plus grand des comiques
Au cinéma, tout Paris s'entassait
Il alla voir ce phénomène unique
Mais quand tout l' monde rigolait (ah ah ah !)
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
Un soir d'hiver, une belle hétaïre
Folle d'amour, lui offrit tsout, tsout, tsout
Il la r'garda, puis d'un coup,
Sans rien dire, il prit les jambes à son cou
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
Désespéré de se voir aussi triste
Il alla voir un docteur en renom
Quand il apprit, par ce grand spécialiste,
Le jour de sa guérison
Un soir d'hiver, une belle hétaïre
Folle d'amour, lui offrit tsout, tsout, tsout
Il la r'garda, puis d'un coup,
Sans rien dire, il prit les jambes à son cou
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
Désespéré de se voir aussi triste
Il alla voir un docteur en renom
Quand il apprit, par ce grand spécialiste,
Le jour de sa guérison
Il pleurait comme une Madeleine
Il pleurait, pleurait, pleurait
Il pleurait comme une fontaine
Toutes les larmes de son corps y passaient
Oh la la la la, quel cafard !
Oh la la la la, quel cafard !
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