Paroles de la chanson Le même chagrin par Maxence
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Paroles de la chanson Le même chagrin par Maxence
J’enrage aux premières secondes
Tournées en rondes
Que la nuit sera longue
Et je m’avance dans les ombres
Sans jamais plus ne croiser la tienne
Sur les pavés mouillés, les pluies diluviennes
Sous une lune tragédienne
Et je m’enfonce dans les ombres
La nuit j’accours mais c’est plus pareil
La nuit je cours mais je sombre
As-tu rejoint d’autres merveilles
Sur les pavés mouillés
Les gouttières encombrées
Tournées en rondes
Que la nuit sera longue
Et je m’avance dans les ombres
Sans jamais plus ne croiser la tienne
Sur les pavés mouillés, les pluies diluviennes
Sous une lune tragédienne
Et je m’enfonce dans les ombres
La nuit j’accours mais c’est plus pareil
La nuit je cours mais je sombre
As-tu rejoint d’autres merveilles
Sur les pavés mouillés
Les gouttières encombrées
Les murs de jasmin
Ta photo déteint
Ca y est c’est plié
J’ai les pieds mouillés
Les bras orphelins
Sur les murs, ton nom en carmin
Sur les pavés mouillés
Les gouttières encombrées
Les murs de jasmin
Sous la lune de l’été, toutes les fleurs ont fané, sans toi l’hiver revient
Sous les peupliers
coins souillés de mes pieds
Toujours je reviens
sous la pluie de l’été c’est
Ta photo déteint
Ca y est c’est plié
J’ai les pieds mouillés
Les bras orphelins
Sur les murs, ton nom en carmin
Sur les pavés mouillés
Les gouttières encombrées
Les murs de jasmin
Sous la lune de l’été, toutes les fleurs ont fané, sans toi l’hiver revient
Sous les peupliers
coins souillés de mes pieds
Toujours je reviens
sous la pluie de l’été c’est
Le même chagrin
Et le vent t’enlève comme on arrache un pieu
Des crevasses figées comme les larmes des gens vieux
Mais les lumières s’éteignent sous les pas des envieux
Je presse le pas
Et ta voix résonne
Même sans réseau, même sans raison
Ton parfum qui feint l’odeur du vent
Ton parfum qui sème la solution
Et je sais juste que je n’sais pas
Pourquoi la vie me prive de toi
Qui a voulu que tu n’sois pas
Que tu n’sois plus là
Et le vent t’enlève comme on arrache un pieu
Des crevasses figées comme les larmes des gens vieux
Mais les lumières s’éteignent sous les pas des envieux
Je presse le pas
Et ta voix résonne
Même sans réseau, même sans raison
Ton parfum qui feint l’odeur du vent
Ton parfum qui sème la solution
Et je sais juste que je n’sais pas
Pourquoi la vie me prive de toi
Qui a voulu que tu n’sois pas
Que tu n’sois plus là
Sur les pavés mouillés
Les gouttières encombrées
Les murs de jasmin
Ta photo déteint
Ca y est c’est plié
J’ai les pieds mouillés
Les bras orphelins
Sur les murs, ton nom en carmin
Sur les pavés mouillés
Les gouttières encombrées
Les murs de jasmin
Sous la lune de l’été, toutes les fleurs ont fané, sans toi l’hiver revient
Sous les peupliers
coins souillés de mes pieds
Toujours je reviens
Sous la pluie de l’été c’est
Le même chagrin
Toujours je reviens
Sous la pluie de l’été c’est
Le même chagrin
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