Paroles de la chanson Blues blanc pour un crayon noir par Maxime Le Forestier
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Paroles de la chanson Blues blanc pour un crayon noir par Maxime Le Forestier
Mon crayon se mine
Depuis que j'écris des chansons
Comme une machine
Qui aurait perdu la raison,
Depuis que j'aligne
Quoi qu'il arrive dans ma vie,
Des points à la ligne
Dès qu'un couplet se voit fini.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
Que j'aille à la mine
Depuis que j'écris des chansons
Comme une machine
Qui aurait perdu la raison,
Depuis que j'aligne
Quoi qu'il arrive dans ma vie,
Des points à la ligne
Dès qu'un couplet se voit fini.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
Que j'aille à la mine
De bonne heure, il n'est pas content
Et sa grise mine
Me tire la gueule, et pourtant,
Si je fais le cancre,
Dans mon lit, je sens qu'il se fait
Un mauvais sang d'encre
Qui tâche mon rêve éveillé.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
Toute la semaine,
Il avait perdu ses couleurs
Pour une rengaine
Qui accouchait dans la douleur.
Et sa grise mine
Me tire la gueule, et pourtant,
Si je fais le cancre,
Dans mon lit, je sens qu'il se fait
Un mauvais sang d'encre
Qui tâche mon rêve éveillé.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
Toute la semaine,
Il avait perdu ses couleurs
Pour une rengaine
Qui accouchait dans la douleur.
Je sens que j'abuse
Et je devrais, pour éviter
Que mon crayon s'use,
De temps en temps, le faire aider.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
Je sens la menace
Que mon crayon va se tailler
Sans laisser de traces,
Que mon crayon va se casser.
Va-t'en ton bonhomme
De chemin, où que tu te tires,
Crayon à la gomme,
Tu vas pas m'empêcher d'écrire.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
Tu vas pas m'empêcher d'écrire.
Mon stylo toujours se déplume
Et marche une demi-fois sur vingt.
Aux oies, je veux laisser leurs plumes
Et la machine aux écrivains.
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