Paroles de la chanson Février De Cette Année-Là par Maxime Le Forestier
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Paroles de la chanson Février De Cette Année-Là par Maxime Le Forestier
Février de cette année là
C'est le début de mon histoire
Bien avant ma première guitare
Quatre ans après Hiroshima
Février de cette année là
Viet-Nam se disait Indochine
Un homme s'installait en Chine
Mais les chansons n'en parlaient pas
Février de cette année là
La mort a-t'elle fait une trêve
Au sein des hopitaux en grève
Les journaux ne le disent pas
Sur le calendrier
Au mois de février
Les jours s'allongent peu à peu
On se lève assez tard
C'est le début de mon histoire
Bien avant ma première guitare
Quatre ans après Hiroshima
Février de cette année là
Viet-Nam se disait Indochine
Un homme s'installait en Chine
Mais les chansons n'en parlaient pas
Février de cette année là
La mort a-t'elle fait une trêve
Au sein des hopitaux en grève
Les journaux ne le disent pas
Sur le calendrier
Au mois de février
Les jours s'allongent peu à peu
On se lève assez tard
Les yeux pleins de brouillard
Heureux ou malheureux
Si j'ouvrais déjà grand les yeux
Un jour, c'est jeune pour comprendre
Mes chansons d'alors étaient tendres
J'avais un public merveilleux
Février de cette année là
On parlait d'un docteur miracle
Et loin des chroniques spectacle
Ferré chantait rue St Benoit
Vagabonds, fantasques, hors la loi
Les vents qui venaient de Norvège
Transportaient des relents de neige
Février de cette année là
Sur le calendrier…
Février de cette année là
Bien sûr je ne m'en souviens guère
On parlait encore de la guerre
Heureux ou malheureux
Si j'ouvrais déjà grand les yeux
Un jour, c'est jeune pour comprendre
Mes chansons d'alors étaient tendres
J'avais un public merveilleux
Février de cette année là
On parlait d'un docteur miracle
Et loin des chroniques spectacle
Ferré chantait rue St Benoit
Vagabonds, fantasques, hors la loi
Les vents qui venaient de Norvège
Transportaient des relents de neige
Février de cette année là
Sur le calendrier…
Février de cette année là
Bien sûr je ne m'en souviens guère
On parlait encore de la guerre
De ceux qui n'en revenaient pas
On parlait encore et déjà
De tension internationale
De jugements et de scandales
Février de cette année là
Quelqu'un s'est jeté du pont neuf
Sur le quai de Javel en flammes
Se déroulait un autre drame
En février quarante neuf
Sur le calendrier
C'est un prénom gravé
Qui n'a jamais été le mien
Le dix de ce mois là
Tu peux venir chez moi
Des cadeaux plein les mains
Tu peux venir chez moi
Même si tu n'as pas
De cadeaux dans les mains
On parlait encore et déjà
De tension internationale
De jugements et de scandales
Février de cette année là
Quelqu'un s'est jeté du pont neuf
Sur le quai de Javel en flammes
Se déroulait un autre drame
En février quarante neuf
Sur le calendrier
C'est un prénom gravé
Qui n'a jamais été le mien
Le dix de ce mois là
Tu peux venir chez moi
Des cadeaux plein les mains
Tu peux venir chez moi
Même si tu n'as pas
De cadeaux dans les mains
On s'arrangera bien
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