Paroles de la chanson L'ère Étrange par Maxime Le Forestier
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Paroles de la chanson L'ère Étrange par Maxime Le Forestier
Je fréquente une étrange ère
Entre deux siècles, alanguie
Dans son coeur j’ai mon pied à terre
C’est là que j’erre
Là que j’ai l’air
D’être en vie
Dans ses rêves, dans ses dérives
Dans ses déserts je l’ai suivie
Quoi qu’il lui arrive
Comprends que je suive
Elle s’inquiète, drôle d’époque
Si elle allait manquer d’air
Avec ses saisons qui débloquent
Et tous ces gens
Qui voient douc’ment
Monter la mer
Entre deux siècles, alanguie
Dans son coeur j’ai mon pied à terre
C’est là que j’erre
Là que j’ai l’air
D’être en vie
Dans ses rêves, dans ses dérives
Dans ses déserts je l’ai suivie
Quoi qu’il lui arrive
Comprends que je suive
Elle s’inquiète, drôle d’époque
Si elle allait manquer d’air
Avec ses saisons qui débloquent
Et tous ces gens
Qui voient douc’ment
Monter la mer
Comme une gamine, elle s’amuse
En r’gardant passer les avions
L’inconscience infuse
Comprends que j’abuse
Même s’il n’est pas sûr que je l’aime
Rien d’elle ne peut plus m’étonner
Même désespéré , même trompé
Même si elle me fait pleurer
Ca m’fr’ait d’la peine d’envisager
La rupture
Comprends que ça dure
Je fréquente une ère étrange
Entre deux guerres étourdie
J’y vois plus de démons que d’anges
Tous assurés
Qu’ils ont les clés
Du paradis
Rendue par les homme inhumaine
En r’gardant passer les avions
L’inconscience infuse
Comprends que j’abuse
Même s’il n’est pas sûr que je l’aime
Rien d’elle ne peut plus m’étonner
Même désespéré , même trompé
Même si elle me fait pleurer
Ca m’fr’ait d’la peine d’envisager
La rupture
Comprends que ça dure
Je fréquente une ère étrange
Entre deux guerres étourdie
J’y vois plus de démons que d’anges
Tous assurés
Qu’ils ont les clés
Du paradis
Rendue par les homme inhumaine
Au point que les dieux sont partis
Cette ère est la mienne
Comprends que j’y tienneJe fréquente une étrange ère
Entre deux siècles, alanguie
Dans son coeur j’ai mon pied à terre
C’est là que j’erre
Là que j’ai l’air
D’être en vie
Dans ses rêves, dans ses dérives
Dans ses déserts je l’ai suivie
Quoi qu’il lui arrive
Comprends que je suive
Elle s’inquiète, drôle d’époque
Si elle allait manquer d’air
Avec ses saisons qui débloquent
Et tous ces gens
Qui voient douc’ment
Cette ère est la mienne
Comprends que j’y tienneJe fréquente une étrange ère
Entre deux siècles, alanguie
Dans son coeur j’ai mon pied à terre
C’est là que j’erre
Là que j’ai l’air
D’être en vie
Dans ses rêves, dans ses dérives
Dans ses déserts je l’ai suivie
Quoi qu’il lui arrive
Comprends que je suive
Elle s’inquiète, drôle d’époque
Si elle allait manquer d’air
Avec ses saisons qui débloquent
Et tous ces gens
Qui voient douc’ment
Monter la mer
Comme une gamine, elle s’amuse
En r’gardant passer les avions
L’inconscience infuse
Comprends que j’abuse
Même s’il n’est pas sûr que je l’aime
Rien d’elle ne peut plus m’étonner
Même désespéré , même trompé
Même si elle me fait pleurer
Ca m’fr’ait d’la peine d’envisager
La rupture
Comprends que ça dure
Je fréquente une ère étrange
Entre deux guerres étourdie
J’y vois plus de démons que d’anges
Tous assurés
Qu’ils ont les clés
Du paradis
Comme une gamine, elle s’amuse
En r’gardant passer les avions
L’inconscience infuse
Comprends que j’abuse
Même s’il n’est pas sûr que je l’aime
Rien d’elle ne peut plus m’étonner
Même désespéré , même trompé
Même si elle me fait pleurer
Ca m’fr’ait d’la peine d’envisager
La rupture
Comprends que ça dure
Je fréquente une ère étrange
Entre deux guerres étourdie
J’y vois plus de démons que d’anges
Tous assurés
Qu’ils ont les clés
Du paradis
Rendue par les homme inhumaine
Au point que les dieux sont partis
Cette ère est la mienne
Comprends que j’y tienneJe fréquente une étrange ère
Entre deux siècles, alanguie
Dans son coeur j’ai mon pied à terre
C’est là que j’erre
Là que j’ai l’air
D’être en vie
Dans ses rêves, dans ses dérives
Dans ses déserts je l’ai suivie
Quoi qu’il lui arrive
Comprends que je suive
Elle s’inquiète, drôle d’époque
Si elle allait manquer d’air
Avec ses saisons qui débloquent
Et tous ces gens
Au point que les dieux sont partis
Cette ère est la mienne
Comprends que j’y tienneJe fréquente une étrange ère
Entre deux siècles, alanguie
Dans son coeur j’ai mon pied à terre
C’est là que j’erre
Là que j’ai l’air
D’être en vie
Dans ses rêves, dans ses dérives
Dans ses déserts je l’ai suivie
Quoi qu’il lui arrive
Comprends que je suive
Elle s’inquiète, drôle d’époque
Si elle allait manquer d’air
Avec ses saisons qui débloquent
Et tous ces gens
Qui voient douc’ment
Monter la mer
Comme une gamine, elle s’amuse
En r’gardant passer les avions
L’inconscience infuse
Comprends que j’abuse
Même s’il n’est pas sûr que je l’aime
Rien d’elle ne peut plus m’étonner
Même désespéré , même trompé
Même si elle me fait pleurer
Ca m’fr’ait d’la peine d’envisager
La rupture
Comprends que ça dure
Je fréquente une ère étrange
Entre deux guerres étourdie
J’y vois plus de démons que d’anges
Tous assurés
Qu’ils ont les clés
Monter la mer
Comme une gamine, elle s’amuse
En r’gardant passer les avions
L’inconscience infuse
Comprends que j’abuse
Même s’il n’est pas sûr que je l’aime
Rien d’elle ne peut plus m’étonner
Même désespéré , même trompé
Même si elle me fait pleurer
Ca m’fr’ait d’la peine d’envisager
La rupture
Comprends que ça dure
Je fréquente une ère étrange
Entre deux guerres étourdie
J’y vois plus de démons que d’anges
Tous assurés
Qu’ils ont les clés
Du paradis
Rendue par les homme inhumaine
Au point que les dieux sont partis
Cette ère est la mienne
Comprends que j’y tienne
Rendue par les homme inhumaine
Au point que les dieux sont partis
Cette ère est la mienne
Comprends que j’y tienne
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