Paroles de la chanson Cousine par Félix Mayol
Auteurs: Boyer Lucien
Compositeurs: Valsien Albert
Editeurs: Les Nouvelles Editions Meridian
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Paroles de la chanson Cousine par Félix Mayol
1ERE VERSION :
Autrefois, ma cousine Hortense
Arrivait de temps en temps chez mes parents ;
Ell' venait passer ses vacances
Dans notre petit' maison près de Toulon.
C'était dans l'programme quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme, à la gar' je courais comme un fou
Mais le train arrivait tout à coup.
En la voyant je criais : Zou !...
Cousine, cousine,
T'es fraîch' comme une praline,
Cousine, cousine ,
Autrefois, ma cousine Hortense
Arrivait de temps en temps chez mes parents ;
Ell' venait passer ses vacances
Dans notre petit' maison près de Toulon.
C'était dans l'programme quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme, à la gar' je courais comme un fou
Mais le train arrivait tout à coup.
En la voyant je criais : Zou !...
Cousine, cousine,
T'es fraîch' comme une praline,
Cousine, cousine ,
Coquin de sort, qué bonn' mine !
(Parlé) Et qué bonne mine tu as cousine ça fait plaisir à voir
(parlé)t'as bien dormi dans le train hé j'espère que tu avais un coin au moins hum ?...
Cousine, cousine,
Embrasse ton cousin germain !
Le matin courant vers la grève,
Pour nous baigner tous deux dans les flots bleus,
On s'déshabillait quel beau rêve
Sous l'ombrage hospitalier des oliviers.
Rouge comme une cerise,elle me cachait sa gorge exquise,
En ramenant sa chemise,
Mais comme y'avait de la dentelle partout
(Parlé) Et qué bonne mine tu as cousine ça fait plaisir à voir
(parlé)t'as bien dormi dans le train hé j'espère que tu avais un coin au moins hum ?...
Cousine, cousine,
Embrasse ton cousin germain !
Le matin courant vers la grève,
Pour nous baigner tous deux dans les flots bleus,
On s'déshabillait quel beau rêve
Sous l'ombrage hospitalier des oliviers.
Rouge comme une cerise,elle me cachait sa gorge exquise,
En ramenant sa chemise,
Mais comme y'avait de la dentelle partout
Souvent, je voyais par un trou un sein qui montrait son petit bout.
Oh Cousine, oh cousine,
Qu'est-c' que j'vois sur ta poitrine ?
Cousine, cousine,
On dirait deux mandarines...
Hé hé t' as les mandarines, peuchère,
mais ne crois surtout pas que j'exagère hum
Cousine, cousine,
C'est moi qui ai le pépin !
Ell' m'écrivit l'autre année :
" Cher cousin, je n'viendrai pas, excuse moi
Depuis huit jours, je suis mariée,
Et pour plaire à mon mari J'reste à Paris. "
La méchante lettre en moi quel chagrin elle fit naître !
Oh Cousine, oh cousine,
Qu'est-c' que j'vois sur ta poitrine ?
Cousine, cousine,
On dirait deux mandarines...
Hé hé t' as les mandarines, peuchère,
mais ne crois surtout pas que j'exagère hum
Cousine, cousine,
C'est moi qui ai le pépin !
Ell' m'écrivit l'autre année :
" Cher cousin, je n'viendrai pas, excuse moi
Depuis huit jours, je suis mariée,
Et pour plaire à mon mari J'reste à Paris. "
La méchante lettre en moi quel chagrin elle fit naître !
Du fond de mon être monta comme un frisson de rancoeur ;
J'interrogeai dans ma douleur
Les arbres, la grève, les fleurs.
Cousine, cousine,
Si gentille, si câline,
Cousine, cousine,
C'est mon coeur qu'elle piétine.
(parlé) Je rêvais de l'épouser au printemps,
Et moi je suis là comme un fada té j'attends...
Cousine, cousine,
L'amour, c'est les boniments !
2EME VERSION :
Autrefois, ma cousine Hortense
J'interrogeai dans ma douleur
Les arbres, la grève, les fleurs.
Cousine, cousine,
Si gentille, si câline,
Cousine, cousine,
C'est mon coeur qu'elle piétine.
(parlé) Je rêvais de l'épouser au printemps,
Et moi je suis là comme un fada té j'attends...
Cousine, cousine,
L'amour, c'est les boniments !
2EME VERSION :
Autrefois, ma cousine Hortense
Arrivait de temps en temps chez mes parents ;
Ell' venait passer ses vacances
Dans notre petit' maison près de Toulon.
C'était dans l'programme quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme, à la gar' je courais comme un fou
Mais le train arrivait tout à coup.
En la voyant je criais : Zou !...
Cousine, cousine,
T'es fraîch' comme une praline,
Cousine, cousine ,
Coquin de sort, qué bonn' mine !
(Parlé) Et qué bonne mine tu as cousine ça fait plaisir à voir
(parlé)t'as bien dormi dans le train hé j'espère que tu avais un coin au moins hum ?...
Ell' venait passer ses vacances
Dans notre petit' maison près de Toulon.
C'était dans l'programme quand nous recevions le télégramme,
Le bonheur dans l'âme, à la gar' je courais comme un fou
Mais le train arrivait tout à coup.
En la voyant je criais : Zou !...
Cousine, cousine,
T'es fraîch' comme une praline,
Cousine, cousine ,
Coquin de sort, qué bonn' mine !
(Parlé) Et qué bonne mine tu as cousine ça fait plaisir à voir
(parlé)t'as bien dormi dans le train hé j'espère que tu avais un coin au moins hum ?...
Cousine, cousine,
Embrasse ton cousin germain !
Le matin courant vers la grève,
Pour nous baigner tous deux dans les flots bleus,
On s'déshabillait quel beau rêve
Sous l'ombrage hospitalier des oliviers.
Rouge comme une cerise,elle me cachait sa gorge exquise,
En ramenant sa chemise,
Mais comme y'avait de la dentelle partout
Souvent, je voyais par un trou un sein qui montrait son petit bout.
Oh Cousine, oh cousine,
Qu'est-c' que j'vois sur ta poitrine ?
Cousine, cousine,
On dirait deux mandarines...
Hé hé t' as les mandarines, peuchère,
mais ne crois surtout pas que j'exagère hum
Cousine, cousine,
C'est moi qui ai le pépin !
Souvent, prenant sa main mignonne,
Je l'emmenais faire un tour dans la bass'-cour,
Et tandis qu'pigeons et pigeonnes faisaient l'amour sans pudeur,
On f'sait l'voyeur,
La brise frivole
Nous portait bientôt des chansons folles :
" C'est la farandole,
Viens farandoler sur le gazon ! "
" Plus tard, me disait-ell', Gaston,
Quand t'auras du poil au menton ! "
Hé hé t' as les mandarines, peuchère,
mais ne crois surtout pas que j'exagère hum
Cousine, cousine,
C'est moi qui ai le pépin !
Souvent, prenant sa main mignonne,
Je l'emmenais faire un tour dans la bass'-cour,
Et tandis qu'pigeons et pigeonnes faisaient l'amour sans pudeur,
On f'sait l'voyeur,
La brise frivole
Nous portait bientôt des chansons folles :
" C'est la farandole,
Viens farandoler sur le gazon ! "
" Plus tard, me disait-ell', Gaston,
Quand t'auras du poil au menton ! "
Cousine, cousine,
Oui, l'amour me turlupine,
Cousine, cousine,
Laiss'-moi t'fair' des p'tit' machines...
(Parlé) Tu as peur que je te fasse un enfant ?
Ne crains rien, je n'ai que dix-sept ans !
Cousine, cousine,
Viens faire tutu-panpan !
Ell' m'écrivit l'autre année :
" Cher cousin, je n'viendrai pas, excuse moi
Depuis huit jours, je suis mariée,
Et pour plaire à mon mari j'reste à Paris. "
La méchante lettre en moi quel chagrin elle fit naître !
Du fond de mon être monta comme un frisson de rancoeur ;
J'interrogeai dans ma douleur
Oui, l'amour me turlupine,
Cousine, cousine,
Laiss'-moi t'fair' des p'tit' machines...
(Parlé) Tu as peur que je te fasse un enfant ?
Ne crains rien, je n'ai que dix-sept ans !
Cousine, cousine,
Viens faire tutu-panpan !
Ell' m'écrivit l'autre année :
" Cher cousin, je n'viendrai pas, excuse moi
Depuis huit jours, je suis mariée,
Et pour plaire à mon mari j'reste à Paris. "
La méchante lettre en moi quel chagrin elle fit naître !
Du fond de mon être monta comme un frisson de rancoeur ;
J'interrogeai dans ma douleur
Les arbres, la grève, les fleurs.
Cousine, cousine,
Si gentille, si câline,
Cousine, cousine,
C'est mon coeur qu'elle piétine.
(parlé) Je rêvais de l'épouser au printemps,
Et moi je suis là comme un fada té j'attends...
Cousine, cousine,
L'amour, c'est les boniments !
Cousine, cousine,
Si gentille, si câline,
Cousine, cousine,
C'est mon coeur qu'elle piétine.
(parlé) Je rêvais de l'épouser au printemps,
Et moi je suis là comme un fada té j'attends...
Cousine, cousine,
L'amour, c'est les boniments !
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