Paroles de la chanson Le Cerf Volant par Mehdi Kruger
Chanson manquante pour "Mehdi Kruger" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Le Cerf Volant"
Proposer une correction des paroles de "Le Cerf Volant"
Paroles de la chanson Le Cerf Volant par Mehdi Kruger
Assis sur les toits, suspendu au-dessus du vide
Au-dessus des lois
Au-dessus de la ville
Que le soleil lacère d'éclats de métal
J'aperçois l'horizon à travers les vapeurs de méthane
Seul un sillage d'avion balafre le ciel
Et me rappelle l'existence de la race humaine
Moi je rêve d'être un Icare en Classe Affaire
Un numéro de Visa qui s'en tamponne
Naufragé volontaire sous cette grande gueule d'atmosphère
Vers laquelle se tournent les paraboles et les prières
À croire que le ciel unit
Au-dessus des lois
Au-dessus de la ville
Que le soleil lacère d'éclats de métal
J'aperçois l'horizon à travers les vapeurs de méthane
Seul un sillage d'avion balafre le ciel
Et me rappelle l'existence de la race humaine
Moi je rêve d'être un Icare en Classe Affaire
Un numéro de Visa qui s'en tamponne
Naufragé volontaire sous cette grande gueule d'atmosphère
Vers laquelle se tournent les paraboles et les prières
À croire que le ciel unit
Ce que la terre sépare
La terre m'entoure le ciel m'attire
Je rêve de me perdre aux vents
La vie seule me relie au sol
Comme la ficelle d'un cerf-volant
Assis sur les toits du gravier sous les doigts
Seule la gravité me pèse de tout mon poids
Sous ce ciel qu’on implore ou qu’on explore
D’un livre ou d’un aéroport
Au fond, on rêve tous d'une chute à l'envers
De se laisser emporter dans un courant d'air au-dessus des orages
Dès le décollage en décalage avec le plancher des lâches
Traverser les fuseaux dans un fuselage
Jusqu'au tarmac et les formulaires d’usage
La terre m'entoure le ciel m'attire
Je rêve de me perdre aux vents
La vie seule me relie au sol
Comme la ficelle d'un cerf-volant
Assis sur les toits du gravier sous les doigts
Seule la gravité me pèse de tout mon poids
Sous ce ciel qu’on implore ou qu’on explore
D’un livre ou d’un aéroport
Au fond, on rêve tous d'une chute à l'envers
De se laisser emporter dans un courant d'air au-dessus des orages
Dès le décollage en décalage avec le plancher des lâches
Traverser les fuseaux dans un fuselage
Jusqu'au tarmac et les formulaires d’usage
Entre ceux qui survolent les douanes volantes et ceux qu’on dévisage
Et toutes ces valises qu’on traîne dans nos bagages
À croire que le ciel unit
Ce que les mers séparent
La terre m'entoure le ciel m'attire
Je rêve de me perdre aux vents
La vie seule me relie au sol
Comme la ficelle d'un cerf-volant
Je ne pense, je ne pense, je ne pense rien
Je ne pense, je ne pense à rien
Plus la vie avance, plus rien n'a de sens
À part le vent, je suis déjà loin
Je ne pense, je ne pense, je ne pense à rien
Et toutes ces valises qu’on traîne dans nos bagages
À croire que le ciel unit
Ce que les mers séparent
La terre m'entoure le ciel m'attire
Je rêve de me perdre aux vents
La vie seule me relie au sol
Comme la ficelle d'un cerf-volant
Je ne pense, je ne pense, je ne pense rien
Je ne pense, je ne pense à rien
Plus la vie avance, plus rien n'a de sens
À part le vent, je suis déjà loin
Je ne pense, je ne pense, je ne pense à rien
Je ne pense, je ne pense à rien
Archanges et Airbus partagent le même espace aérien
Assis sur les toits l'esprit libéré
Les bras en croix comme on le ferait pour marcher le long d'une voie ferrée
Ciel prophète, ciel profane
Qui change de continent
Le temps d'un plateau-repas sous cellophane
Juste une pellicule d'ozone qui nous sépare de notre créateur
Le paradis à portée de réacteur
L'absolu pour les nuls
Aseptisé, pressurisé, privatisé jusqu'aux constellations
Qu'on prie d'aviser nos belles actions
Qu'on brave par une rafale de Kalash sous un soleil de plomb
Archanges et Airbus partagent le même espace aérien
Assis sur les toits l'esprit libéré
Les bras en croix comme on le ferait pour marcher le long d'une voie ferrée
Ciel prophète, ciel profane
Qui change de continent
Le temps d'un plateau-repas sous cellophane
Juste une pellicule d'ozone qui nous sépare de notre créateur
Le paradis à portée de réacteur
L'absolu pour les nuls
Aseptisé, pressurisé, privatisé jusqu'aux constellations
Qu'on prie d'aviser nos belles actions
Qu'on brave par une rafale de Kalash sous un soleil de plomb
À croire que le ciel unit
Ce que les hommes séparent
La terre m'entoure le ciel m'attire
Je rêve de me perdre aux vents
La vie seule me relie au sol
Comme la ficelle d'un cerf-volant
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)