Paroles de la chanson Amo par Melan
Paroles de la chanson Amo par Melan
J’avais trouvé ma fille, triste et belle
J’avais trouvé mes zèles, je maitrise mes peines
J’avais trouvé ma clé, bond cabri et faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
J’avais trouvé mes zèles, je maitrise mes peines
J’avais trouvé ma clé, bond cabri et faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
L’appart est vide, les cartons pleins, triste et j’emménage
De la poussière dans les méninges qui tue nos ménages
Mon cœur bat les bosses ça craint, non je sens pas les pages
Je revois le sourire des gosses, le tien, nos chambres à l’étage
Ta main dans la mienne, ton mascara sur mon pull
Nos photos je peux pas les tèj, ni les té-ma non plus
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
L’appart est vide, les cartons pleins, triste et j’emménage
De la poussière dans les méninges qui tue nos ménages
Mon cœur bat les bosses ça craint, non je sens pas les pages
Je revois le sourire des gosses, le tien, nos chambres à l’étage
Ta main dans la mienne, ton mascara sur mon pull
Nos photos je peux pas les tèj, ni les té-ma non plus
J’ai mal alors je me noie, enterré dans l’abus
Putain ça fait des mois que je me suis enterré dans ma bulle
Ouais je me bute et ça parce que je vis plus
Ça se voit pas, mais qui a buté ma place, putain de mal interne
Je veux pas de pute à ta place, des rictus en rafale
Une vie de plus dans la vase et j’éteins ma lanterne
Pas un jour sans y penser, il faudrait que je pillave en continu
L’ombre de moi ne jamais même senti aussi nul
J’ose pas te le dire alors je l’écris, je vois pas de beaux signes
C’est pas une question de fierté, plutôt d’impossible
Putain ça fait des mois que je me suis enterré dans ma bulle
Ouais je me bute et ça parce que je vis plus
Ça se voit pas, mais qui a buté ma place, putain de mal interne
Je veux pas de pute à ta place, des rictus en rafale
Une vie de plus dans la vase et j’éteins ma lanterne
Pas un jour sans y penser, il faudrait que je pillave en continu
L’ombre de moi ne jamais même senti aussi nul
J’ose pas te le dire alors je l’écris, je vois pas de beaux signes
C’est pas une question de fierté, plutôt d’impossible
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
Là je suis bourré comme tous les jours, je sais pas si il faut que j’en parle
C’est ma tournée, j’ai le mal d’amour, je vois des poussettes quand les gens passent
On a tous deux vécu ce genre de bails, ces grandes débauches
Si je me sens moche c’est parce que c’était tes yeux qui me rendaient beau
L’impression qu’une championne olympique me tire de poids
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
Là je suis bourré comme tous les jours, je sais pas si il faut que j’en parle
C’est ma tournée, j’ai le mal d’amour, je vois des poussettes quand les gens passent
On a tous deux vécu ce genre de bails, ces grandes débauches
Si je me sens moche c’est parce que c’était tes yeux qui me rendaient beau
L’impression qu’une championne olympique me tire de poids
J’avoue c’est pas facile de remonter l’ascenseur
Je repense à mes frères qui ont plus de trente ans et qui vivent pire que moi
C’est compliqué d’écrire à quel point on se sent seul
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Je repense à mes frères qui ont plus de trente ans et qui vivent pire que moi
C’est compliqué d’écrire à quel point on se sent seul
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
Cette pente comme ma vie elle est triste et belle
Face à ce verre vide dans lequel je tease mes peines
Au-dessus de la ville je vole mais mon cabri est faible
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
Hurler n’est jamais bon mais là j’ai crié vrai
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
J’avais trouvé ma fille
J’avais trouvé mes zèles
J’avais trouvé ma clé
J’avais trouvé ma belle, ma belle, ma belle
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