Paroles de la chanson Y'a rien à voir par Melan
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Paroles de la chanson Y'a rien à voir par Melan
Ma plume est morte, tape les porcs
Je vois que sa tristesse n'a pas d'égal
Sa joie d'or, de peine [...]
[...] laisse regarde et dégage
Je vois que ses cornes enflamment le décor
ça pue la mort à deux pas d'écart
Elle me dit t'es fort attrape la corde
Mais ce soir encore je ferai parti des lâches
Je suis bon qu'à foutre la merde
Fier du peu que j'avais je foire tout j'ai tout à perdre
La droiture est illusoire quand [...] c'est salutaire
Je ferai mieux de garder mes idées noires dans une pièce sans lumière
J'ai déconné, désamarrer des ports
Je vois que sa tristesse n'a pas d'égal
Sa joie d'or, de peine [...]
[...] laisse regarde et dégage
Je vois que ses cornes enflamment le décor
ça pue la mort à deux pas d'écart
Elle me dit t'es fort attrape la corde
Mais ce soir encore je ferai parti des lâches
Je suis bon qu'à foutre la merde
Fier du peu que j'avais je foire tout j'ai tout à perdre
La droiture est illusoire quand [...] c'est salutaire
Je ferai mieux de garder mes idées noires dans une pièce sans lumière
J'ai déconné, désamarrer des ports
Lever la voile tu sais je m’écœure
De peur voler des fleurs souiller mon corps
Elever la voix briser des coeurs
La faucheuse et la fauche [...]
Sans flash mes caches-misères fuient le beau
Ma zik une prothèse fictive un cache-misère du pauvre
La souffrance m’empale sur un pieux
Après avoir giclé j'y repense je vivrais surement
Mais rare que j'en parle sur un pieux
Évite l'envie de boire (que ferme les cieux ?)
Le stade est vide les fumigènes sont noirs
Et je vois que ça quand je ferme les yeux
Partez partez partez, il a rien à voir
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, juste un animal de foire
De peur voler des fleurs souiller mon corps
Elever la voix briser des coeurs
La faucheuse et la fauche [...]
Sans flash mes caches-misères fuient le beau
Ma zik une prothèse fictive un cache-misère du pauvre
La souffrance m’empale sur un pieux
Après avoir giclé j'y repense je vivrais surement
Mais rare que j'en parle sur un pieux
Évite l'envie de boire (que ferme les cieux ?)
Le stade est vide les fumigènes sont noirs
Et je vois que ça quand je ferme les yeux
Partez partez partez, il a rien à voir
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, juste un animal de foire
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, il a rien à voir
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, juste un animal de foire
Regardez regardez regardez là-bas
J'ai taclé mes dons il en a pas que des bons, un tas d'épaves
Je crois qu'il ne tombe que des [...]
L'homme de l'ombre s'entasse et se déprave
Que fait-on dans des tonnes de béton ?
Dans les rangs s'enduit, s'encrasse
Les boulons sont sortis des gongs
L'intelligence s'enfuit sans trace
L'estomac vide ,faible poussiéreux je m'arrête j’ausculte
J'ai reteint la ville en peine des couplets pieux de ma [...]
Partez partez partez, il a rien à voir
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, juste un animal de foire
Regardez regardez regardez là-bas
J'ai taclé mes dons il en a pas que des bons, un tas d'épaves
Je crois qu'il ne tombe que des [...]
L'homme de l'ombre s'entasse et se déprave
Que fait-on dans des tonnes de béton ?
Dans les rangs s'enduit, s'encrasse
Les boulons sont sortis des gongs
L'intelligence s'enfuit sans trace
L'estomac vide ,faible poussiéreux je m'arrête j’ausculte
J'ai reteint la ville en peine des couplets pieux de ma [...]
[...]
Je suis qu'un lézard au sang froid sur les arbres de Sibérie
Je traine mes casseroles et mes poêles
Que des mains moites des voiles devant moi
Sans foie j'enlève le voile, bois me crève le foie
Je m'arrache les yeux j'en ai marre de voir
Le mysticisme est flou dans ma tête
Mais la lumière me garde
Me guide me borde me (brade ?) me couve dans ma quête
La nuit la noirceur bat mon corps amorphe
Aiguiser mes armes pour passer mes messages
Prophète la journée mon cœur bat la mort
Ressent le souffle dans ces prophéties éclairé par la force
Faites moi taire si je parle à tord le ciel m'a trop fait de signe
Je suis qu'un lézard au sang froid sur les arbres de Sibérie
Je traine mes casseroles et mes poêles
Que des mains moites des voiles devant moi
Sans foie j'enlève le voile, bois me crève le foie
Je m'arrache les yeux j'en ai marre de voir
Le mysticisme est flou dans ma tête
Mais la lumière me garde
Me guide me borde me (brade ?) me couve dans ma quête
La nuit la noirceur bat mon corps amorphe
Aiguiser mes armes pour passer mes messages
Prophète la journée mon cœur bat la mort
Ressent le souffle dans ces prophéties éclairé par la force
Faites moi taire si je parle à tord le ciel m'a trop fait de signe
Partez partez partez, il a rien à voir
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, juste un animal de foire
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, il a rien à voir
Regardez regardez regardez là-bas
Partez partez partez, juste un animal de foire
Regardez regardez regardez là-bas
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