Paroles de la chanson 23h28 par Mélodie Lauret
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Paroles de la chanson 23h28 par Mélodie Lauret
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
23h28
Sous tes vapeurs de fumée
Saveur mentholée
Pour planer, pour s'aimer dans quel sens, j'ai oublié
Sous nos ardeurs juvéniles
L'air de s'en foutre de tout
Des secrets chuchotés comme sous le ciel d'un mois d'août
Il fait trop nuit pour se voir
Mais trop jour pour s'oublier
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
23h28
Sous tes vapeurs de fumée
Saveur mentholée
Pour planer, pour s'aimer dans quel sens, j'ai oublié
Sous nos ardeurs juvéniles
L'air de s'en foutre de tout
Des secrets chuchotés comme sous le ciel d'un mois d'août
Il fait trop nuit pour se voir
Mais trop jour pour s'oublier
Comme si la vie est un cauchemar dont je viens de me réveiller
Cette attente de deux semaines a duré deux ans
Est-ce ta peau ou la mienne qui frissonne puissance cent?
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
On a fait l'amour mille fois sans même se toucher
C'est pas le hasard, j'y crois pas, suffit d'écouter nos rires sonner
Tout qui enivre, déjà trop ivres de nos bourrasques incontrôlées
C'est pas de ma faute, c'est l'air qui veut nous mener à se frôler
Cette attente de deux semaines a duré deux ans
Est-ce ta peau ou la mienne qui frissonne puissance cent?
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
On a fait l'amour mille fois sans même se toucher
C'est pas le hasard, j'y crois pas, suffit d'écouter nos rires sonner
Tout qui enivre, déjà trop ivres de nos bourrasques incontrôlées
C'est pas de ma faute, c'est l'air qui veut nous mener à se frôler
Suffit de regarder ailleurs, le monde est grand, le monde est chiant
Suffit de regarder plus haut, le monde est beau, le monde bourreau
Sauf que tes yeux appellent tes lèvres
Et tes lèvres appellent tes yeux
Et depuis quand on a plus droit de faire ce que l'on veut
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
Suffit de regarder plus haut, le monde est beau, le monde bourreau
Sauf que tes yeux appellent tes lèvres
Et tes lèvres appellent tes yeux
Et depuis quand on a plus droit de faire ce que l'on veut
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
23h28, il est trop tôt pour qu'on se quitte
23h28, la sensation d'un lendemain de cuite
23h28, 22h, fut-il bien réel?
23h28, j'ai encore tes yeux dans mes lèvres
23h28
Il était 23h28 quand tu es parti
J'l'ai pas deviné, c'était écrit
23h28
Il était 23h28 quand tu es parti
J'l'ai pas deviné, c'était écrit
23h28
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