Paroles de la chanson Dernier Soupir par Merzhin
Auteurs: Berrou,Le Bourdonnec,Le Bras,L Hour,Omnes,Person
Compositeurs: Berrou,Le Bourdonnec,Le Bras,L Hour,Omnes,Person
Editeurs: Xiii Bis Music
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Paroles de la chanson Dernier Soupir par Merzhin
Il n'aurait pas fallu beaucoup de temps
Et j'aurais vécu plus avant
Un peu de chance, de cadence et de démence
Vous auriez pu me faire défense
Seulement vous m'avez oublié
J'ai perdu ma vie, mes sens, j'ai sombré
Trop tard, j'ai vu l'acier décoller
Bien à vous ma tête s'est envolée
Longtemps, comme un diable, j'ai combattu
Mais je n'ai pu abuser de cette vertu
L'ennemi, de mon chef, s'est emparé.
Sûrement pour en faire un... joli trophée
Comme une rivière mon sang a inondé
Leurs mains salies sans aucun regret
Une dame en noir m'a fait frémir
Et j'aurais vécu plus avant
Un peu de chance, de cadence et de démence
Vous auriez pu me faire défense
Seulement vous m'avez oublié
J'ai perdu ma vie, mes sens, j'ai sombré
Trop tard, j'ai vu l'acier décoller
Bien à vous ma tête s'est envolée
Longtemps, comme un diable, j'ai combattu
Mais je n'ai pu abuser de cette vertu
L'ennemi, de mon chef, s'est emparé.
Sûrement pour en faire un... joli trophée
Comme une rivière mon sang a inondé
Leurs mains salies sans aucun regret
Une dame en noir m'a fait frémir
En me soutirant mon... dernier soupir.
Oh dernier soupir
Ma carcasse au soleil s'est mise à pourrir
Attendant les vautours pour la rafraîchir
J'ai scruté mon corps inerte et vide
Avant de m'élancer, pur et avide
J'ai plané sur une route pure et cristalline
Pensant au chagrin de Mitrilin
Cette fleur à peine éclose, déjà tourmentée
Par le cruel plaisir du joug guerrier
Pour moi un monde satin s'est entrouvert
J'ai oublié très vite le goût amer
D'une défaite à qui j'ai fait créance
De tous les droits de mon existence
Cette vie-là était bête à mourir
Aujourd'hui je n'suis plus "en devenir"
Oh dernier soupir
Ma carcasse au soleil s'est mise à pourrir
Attendant les vautours pour la rafraîchir
J'ai scruté mon corps inerte et vide
Avant de m'élancer, pur et avide
J'ai plané sur une route pure et cristalline
Pensant au chagrin de Mitrilin
Cette fleur à peine éclose, déjà tourmentée
Par le cruel plaisir du joug guerrier
Pour moi un monde satin s'est entrouvert
J'ai oublié très vite le goût amer
D'une défaite à qui j'ai fait créance
De tous les droits de mon existence
Cette vie-là était bête à mourir
Aujourd'hui je n'suis plus "en devenir"
Devation m'a pris comme son enfant
Ce qui vous fallait c'était perdre mon temps
Oh perdre mon temps
Un peu de chance,
de cadence
et de démence
et de démence
Un peu de chance
et de cadence
et de démence, oh...
de démence
Un peu de chance
et de cadence
et de démence, oh...
de démence
Ce qui vous fallait c'était perdre mon temps
Oh perdre mon temps
Un peu de chance,
de cadence
et de démence
et de démence
Un peu de chance
et de cadence
et de démence, oh...
de démence
Un peu de chance
et de cadence
et de démence, oh...
de démence
Un peu de chance
et de cadence
et de démence, oh...
de démence
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