Paroles de la chanson La Planète par Merzhin
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Paroles de la chanson La Planète par Merzhin
Je ne dirai ce que je sais
Je prendrai tout ce que je peux
L’argent, le monde et tes beaux yeux
J'abolirai ce qui est, j’exigerai ce que je veux
Le fond, la forme et encore mieux
Et si le moindre résiste, villes entières réactionnistes
Du sang dans les rues, du cafard dans les pieux
Les glaces fondent, la marée monte, j'engloutirai ce que je peux
Hommes et géants, jusqu’au dernier dieu
Ne vois-tu rien, ne sens-tu pas
Toi qui es sage, toi qui es vieux, mon vieux
Tous vos mirages, tous vos forages
Je prendrai tout ce que je peux
L’argent, le monde et tes beaux yeux
J'abolirai ce qui est, j’exigerai ce que je veux
Le fond, la forme et encore mieux
Et si le moindre résiste, villes entières réactionnistes
Du sang dans les rues, du cafard dans les pieux
Les glaces fondent, la marée monte, j'engloutirai ce que je peux
Hommes et géants, jusqu’au dernier dieu
Ne vois-tu rien, ne sens-tu pas
Toi qui es sage, toi qui es vieux, mon vieux
Tous vos mirages, tous vos forages
Dans l’écorce de mes bras
Alors qu’il vous suffit d’ouvrir les yeux
J’absorberai ce que tu es, j’enlèverai ce que tu extrais
La peau, mon sang, les tonnes de mépris
Je détruirai, ce que tu sèmes, je cracherai tous vos débris
D’acier, d’or noir, toutes ces folies
Ne vois-tu rien, ne sens-tu pas
Toi qui es sage, toi qui es vieux, vieux
Tous vos ravages, tous vos carnages dans le bois de mon crâne
Alors qu’il vous suffit d’ouvrir les yeux
Il suffirait d’ouvrir les yeux, ouvrir les yeux
J’ai contemplé Norilsk, un soupçon de brume sur une mine à mort
Alors qu’il vous suffit d’ouvrir les yeux
J’absorberai ce que tu es, j’enlèverai ce que tu extrais
La peau, mon sang, les tonnes de mépris
Je détruirai, ce que tu sèmes, je cracherai tous vos débris
D’acier, d’or noir, toutes ces folies
Ne vois-tu rien, ne sens-tu pas
Toi qui es sage, toi qui es vieux, vieux
Tous vos ravages, tous vos carnages dans le bois de mon crâne
Alors qu’il vous suffit d’ouvrir les yeux
Il suffirait d’ouvrir les yeux, ouvrir les yeux
J’ai contemplé Norilsk, un soupçon de brume sur une mine à mort
J’ai scruté Kabwe, au-delà d’Hazaribagh, la même attitude
J’ai regardé le Gange, un serpent d’ordures, la vision se change
L'atmosphère qui empeste, l’ultime vérité au bout d’une laisse
Et si le moindre résiste, villes entières réactionnistes
Du sang dans les rues, du cafard dans les pieux
Les glaces fondent, la marée monte, j’engloutirai ce que je peux
Hommes et géants, jusqu’au dernier dieu
Ne vois-tu rien, ne sens-tu pas
Toi qui es sage, toi qui es vieux, mon vieux
Tous vos mirages, tous vos forages
Dans le feu de mes entrailles
Alors qu’il vous suffit d’ouvrir les yeux
J’ai regardé le Gange, un serpent d’ordures, la vision se change
L'atmosphère qui empeste, l’ultime vérité au bout d’une laisse
Et si le moindre résiste, villes entières réactionnistes
Du sang dans les rues, du cafard dans les pieux
Les glaces fondent, la marée monte, j’engloutirai ce que je peux
Hommes et géants, jusqu’au dernier dieu
Ne vois-tu rien, ne sens-tu pas
Toi qui es sage, toi qui es vieux, mon vieux
Tous vos mirages, tous vos forages
Dans le feu de mes entrailles
Alors qu’il vous suffit d’ouvrir les yeux
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