Paroles de la chanson La mer farouche par Mes Souliers Sont Rouges
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Paroles de la chanson La mer farouche par Mes Souliers Sont Rouges
Un jour sur la mer farouche
Un navire et quinze matelots
Sans aucunes provisions de bouche
S'en allèrent sur les flots
S'étant tiré en loterie
Ils se mangèrent mutuellement
Maturin le quartier de vigie
Resta le dernier survivant
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Un navire et quinze matelots
Sans aucunes provisions de bouche
S'en allèrent sur les flots
S'étant tiré en loterie
Ils se mangèrent mutuellement
Maturin le quartier de vigie
Resta le dernier survivant
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Quand de ces quatorze camarades
Il eut achevé le repas
Se sentit l'estomac malade
Le quatorzième ne passait pas
Alors se fit tatouer sur son ventre
Le nom des quatorze malheureux
Avec une croix portant au centre
Ces mots touchant priez pour eux
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Aussi quand il revint en France
Aux quatorze femmes de ces amis
Il eut achevé le repas
Se sentit l'estomac malade
Le quatorzième ne passait pas
Alors se fit tatouer sur son ventre
Le nom des quatorze malheureux
Avec une croix portant au centre
Ces mots touchant priez pour eux
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Aussi quand il revint en France
Aux quatorze femmes de ces amis
Il dit en leur montrant sa panse
Voilà la tombe de vos maris
A ces mots les quatorze commères
Devant Maturin se mirent à genoux
En versant des larmes amères
Sur la tombe de leurs époux
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Sur cette vénérée bedaine
Elles apportèrent des pots de fleurs
Du romarin de la verveine
Et des petits pois de senteur
Voilà la tombe de vos maris
A ces mots les quatorze commères
Devant Maturin se mirent à genoux
En versant des larmes amères
Sur la tombe de leurs époux
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Sur cette vénérée bedaine
Elles apportèrent des pots de fleurs
Du romarin de la verveine
Et des petits pois de senteur
Une de ces veuves nommée Catherine
En souvenir de l'époux regretté
Fit dessiner à l'encre de chine
Un petit mausolée ???
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Maturin dit à ces commères
Des couronnes pouvaient apporter
Ça me gênera pas dans cette affaire
J'ai un clou pour les accrocher
Apportez des fleurs naturelles
Elles se conserveront même l'été
En souvenir de l'époux regretté
Fit dessiner à l'encre de chine
Un petit mausolée ???
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Maturin dit à ces commères
Des couronnes pouvaient apporter
Ça me gênera pas dans cette affaire
J'ai un clou pour les accrocher
Apportez des fleurs naturelles
Elles se conserveront même l'été
Mais pour les arroser je vous rappelle
Que le service eau est à côté
Depuis Maturin est fort sage
Mais ce qui l’embête c'est que pour montrer
La tombe ou repose l'équipage
Faut toujours se déculotter
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste...
Que le service eau est à côté
Depuis Maturin est fort sage
Mais ce qui l’embête c'est que pour montrer
La tombe ou repose l'équipage
Faut toujours se déculotter
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste
Oh la la
Oh la la
A ce que c'est triste...
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