Paroles de la chanson La Calomnie par Armand Mestral
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Paroles de la chanson La Calomnie par Armand Mestral
C'est d'abord rumeur légère
Un petit vent rasant la Terre
Puis doucement, vous voyez calomnie
Se dresser, s'enfler, s'enfler en grandissant
Fiez-vous à la maligne envie
Ses traits lancés adroitement
Piano, piano, piano, piano
Piano par un léger murmure
D'absurdes fictions
Font plus d'une blessure
Et portent dans les cœurs
Le feu, le feu de leurs poisons
Et portent dans les cœurs
Le feu, le feu de leurs poisons
Un petit vent rasant la Terre
Puis doucement, vous voyez calomnie
Se dresser, s'enfler, s'enfler en grandissant
Fiez-vous à la maligne envie
Ses traits lancés adroitement
Piano, piano, piano, piano
Piano par un léger murmure
D'absurdes fictions
Font plus d'une blessure
Et portent dans les cœurs
Le feu, le feu de leurs poisons
Et portent dans les cœurs
Le feu, le feu de leurs poisons
Le mal est fait, il chemine, il s'avance
De bouche en bouche il est porté
Puis riforzando, il s'élance
C'est un prodige en vérité
Mais enfin rien ne l'arrête
C'est la foudre, la tempête
Mais enfin rien ne l'arrête
C'est la foudre, la tempête
Un crescendo public
Un vacarme infernal
Un vacarme infernal
Elle s'élance, tourbillonne
Étend son vol, éclate et tonne
Et de haine aussitôt un chorus général
De la proscription a donné le signal
Et de haine aussitôt un chorus général
De la proscription a donné le signal
Et l'on voit le pauvre diable
Menacé comme un coupable
Sous cette arme redoutable
Tomber, tomber terrassé
(ad lib)
Et de haine aussitôt un chorus général
De la proscription a donné le signal
Et l'on voit le pauvre diable
Menacé comme un coupable
Sous cette arme redoutable
Tomber, tomber terrassé
(ad lib)
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