Paroles de la chanson Je Pense A Toi par Michel Delpech
Auteurs: Jean-Michel Rivat,Michel Delpech
Compositeurs: Roland Vincent
Editeurs: Warner Chappell Music France
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Paroles de la chanson Je Pense A Toi par Michel Delpech
Je débarquais à n'importe quelle heure
On cuisinait, on dînait tous les trois
Vous aviez l'air d'un couple sans problème
Je vous aimais, elle, aussi bien que toi
Avec le temps je suis venu pour elle
Tu n'as rien vu mais j'étais amoureux
Elle attendait que je parte avec elle
Il a fallu te rendre malheureux
Je pense à toi
Souvent je crois t'entendre
Me dire que chez toi
C'était aussi chez moi
Je pense à toi
Tu ne dois rien comprendre
Tu dois être abattu
On cuisinait, on dînait tous les trois
Vous aviez l'air d'un couple sans problème
Je vous aimais, elle, aussi bien que toi
Avec le temps je suis venu pour elle
Tu n'as rien vu mais j'étais amoureux
Elle attendait que je parte avec elle
Il a fallu te rendre malheureux
Je pense à toi
Souvent je crois t'entendre
Me dire que chez toi
C'était aussi chez moi
Je pense à toi
Tu ne dois rien comprendre
Tu dois être abattu
Terriblement déçu
Tu me disais que j'étais son grand frère
Je m'asseyais au bord de votre lit
En vous quittant j'éteignais la lumière
Et finalement je prenais mon taxi
J'imaginais que j'étais à ta place
Je me sentais horriblement gêné
J'avais du mal à te parler en face
J'avais envie de tout te raconter
Je pense à toi
Souvent je crois t'entendre
Me dire que chez toi
C'était aussi chez moi
Je pense à toi
Tu ne dois rien comprendre
Tu me disais que j'étais son grand frère
Je m'asseyais au bord de votre lit
En vous quittant j'éteignais la lumière
Et finalement je prenais mon taxi
J'imaginais que j'étais à ta place
Je me sentais horriblement gêné
J'avais du mal à te parler en face
J'avais envie de tout te raconter
Je pense à toi
Souvent je crois t'entendre
Me dire que chez toi
C'était aussi chez moi
Je pense à toi
Tu ne dois rien comprendre
Tu dois être abattu
Terriblement déçu
J'ai beau chercher me trouver des prétextes
Je sais très bien que rien ne tient debout
Mais on était toujours ensemble ou presque
Même à Noël en pendant le mois d'Août
Bien entendu quand on est aussi proche
Ces choses-là sont forcées d'arriver
Ce n'est qu'après qu'on se fait des reproches
Je ne vis plus depuis qu'on t'a laissé
Je pense à toi
Souvent je crois t'entendre
Me dire que chez toi
C'était aussi chez moi
Je pense à toi
Tu ne dois rien comprendre
Terriblement déçu
J'ai beau chercher me trouver des prétextes
Je sais très bien que rien ne tient debout
Mais on était toujours ensemble ou presque
Même à Noël en pendant le mois d'Août
Bien entendu quand on est aussi proche
Ces choses-là sont forcées d'arriver
Ce n'est qu'après qu'on se fait des reproches
Je ne vis plus depuis qu'on t'a laissé
Je pense à toi
Souvent je crois t'entendre
Me dire que chez toi
C'était aussi chez moi
Je pense à toi
Tu ne dois rien comprendre
Tu dois être abattu
Terriblement déçu
Terriblement déçu
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