Paroles de la chanson L'américain par Michel Etcheverry
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Paroles de la chanson L'américain par Michel Etcheverry
J'ai quitté mon village quand j'avais quatre ans
J'ai laissé mon école, dit "au revoir" aux amis
Sur un grand bateau gris j'ai traversé l'océan
J'ai grandi dans les plaines en Californie
Mon père était pauvre et la vie était dure
Il pensa alors que là-bas ce serait bien
L'Amérique il en rêvait oui la chose était sûre
Le bonheur serait notre au pays des indiens
L'Américain, c'est ainsi qu'on me nomme
Je parle Anglais, je n'ai pas le bérêt
Mais ce n'est pas au chapeau qu'on juge un homme
Basque je suis, basque je resterai
Basque je suis, Basque je resterai
J'ai fait dans la brebis, tout comme mon père
J'ai laissé mon école, dit "au revoir" aux amis
Sur un grand bateau gris j'ai traversé l'océan
J'ai grandi dans les plaines en Californie
Mon père était pauvre et la vie était dure
Il pensa alors que là-bas ce serait bien
L'Amérique il en rêvait oui la chose était sûre
Le bonheur serait notre au pays des indiens
L'Américain, c'est ainsi qu'on me nomme
Je parle Anglais, je n'ai pas le bérêt
Mais ce n'est pas au chapeau qu'on juge un homme
Basque je suis, basque je resterai
Basque je suis, Basque je resterai
J'ai fait dans la brebis, tout comme mon père
D'autres ont travaillé dans des restaurants
On se serrait les coudes, on était basques et fiers
Un basque à l'étranger c'est ttoujours un paren
Des fêtes populaires souvent nous rassemblaient
Et les exilés chantaient sous les néons
Des basques du pays venaient nous faire danser
Au rythme des txistus et de l'accordéon
- Les gens qui se moquaient de notre pauvreté
Riront peut-être moins quand ils découvriront
Que j'ai fait fortune, que je suis de retour
Et que j'ai racheté la maison où je suis né
On se serrait les coudes, on était basques et fiers
Un basque à l'étranger c'est ttoujours un paren
Des fêtes populaires souvent nous rassemblaient
Et les exilés chantaient sous les néons
Des basques du pays venaient nous faire danser
Au rythme des txistus et de l'accordéon
- Les gens qui se moquaient de notre pauvreté
Riront peut-être moins quand ils découvriront
Que j'ai fait fortune, que je suis de retour
Et que j'ai racheté la maison où je suis né
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