Paroles de la chanson Ring et Ding par Michel Fugain
Auteurs: Claude Lemesle
Compositeurs: Michel Fugain
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Paroles de la chanson Ring et Ding par Michel Fugain
Je vais te raconter l’histoire (faut c’qu’y faut)
D’un gars qui voulait changer l’histoire (trop c’est trop)
Il était fils de militaire et né dans un canon (boum !)
Sur sa brassière y avait déjà des galons.
Un homm’ de guerre, c’est pas la moitié d’un con.
Un petit coup de Marseillaise (oh non !)
Un petit coup de La Madelon (sûr’ment pas !)
Vive l’amour à la française. Et vive la France et la Corrèze.
Oooh. Tout finit par des chansons.
D’un gars qui voulait changer l’histoire (trop c’est trop)
Il était fils de militaire et né dans un canon (boum !)
Sur sa brassière y avait déjà des galons.
Un homm’ de guerre, c’est pas la moitié d’un con.
Un petit coup de Marseillaise (oh non !)
Un petit coup de La Madelon (sûr’ment pas !)
Vive l’amour à la française. Et vive la France et la Corrèze.
Oooh. Tout finit par des chansons.
Moi mon gars je veux pas changer l’histoire, je veux rien changer du tout.
Je laiss’rai rien de rien dans les mémoires, mais je m’en fous.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding,
Ring a ding, ring a ding.
Oui je m’en fous.
Il épousa un jour de gloire (faut c’qu’y faut)
Un’ demoisell’ nommée Victoire (trop c’est trop)
Elle était fill’ de légionnaire, d’ailleurs elle sentait bon (Beurk)
Devant le Maire, la belle n’a pas dit non.
Elle était fière d’être la moitié d’un con. (Allez !)
Je laiss’rai rien de rien dans les mémoires, mais je m’en fous.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding,
Ring a ding, ring a ding.
Oui je m’en fous.
Il épousa un jour de gloire (faut c’qu’y faut)
Un’ demoisell’ nommée Victoire (trop c’est trop)
Elle était fill’ de légionnaire, d’ailleurs elle sentait bon (Beurk)
Devant le Maire, la belle n’a pas dit non.
Elle était fière d’être la moitié d’un con. (Allez !)
Un petit coup de Marseillaise (ouais allez tiens).
Un petit coup de La Madelon (non !)
Vive l’amour à la française. Et viv’ Paimpol et ses falaises.
Oooh. Tout finit par des plongeons (splash !)
Moi mon gars je n’veux pas changer l’histoire, je veux rien changer du tout.
Je laiss’rai rien de rien dans les mémoires, mais je m’en fous.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding.
Ring a ding, ring a ding.
Oui je m’en fous.
Voici la fin de mon histoire (faut c’qu’y faut)
Bien sûr c’est difficile à croire (trop c’est trop)
Un petit coup de La Madelon (non !)
Vive l’amour à la française. Et viv’ Paimpol et ses falaises.
Oooh. Tout finit par des plongeons (splash !)
Moi mon gars je n’veux pas changer l’histoire, je veux rien changer du tout.
Je laiss’rai rien de rien dans les mémoires, mais je m’en fous.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding.
Ring a ding, ring a ding.
Oui je m’en fous.
Voici la fin de mon histoire (faut c’qu’y faut)
Bien sûr c’est difficile à croire (trop c’est trop)
Un jour au cœur de la mitraille, un boulet de canon (boum !)
Fit une entaille plus large que ses gallons.
Du champ d’bataille, sortit la moitié d’un con. (Et allez !)
Un petit coup de Marseillaise (hola non, non !)
Un petit coup de La Madelon (j’ai dit non !)
Vive l’amour à la française. Et vive enfin le Père Lachaise.
Oooh. Tout finit au goupillon.
Ah moi mon gars je veux pas changer l’histoire, je veux rien changer du tout.
Je laiss’rai rien de rien dans les mémoires, mais je m’en fous.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding.
Ring a ding, ring a ding.
Fit une entaille plus large que ses gallons.
Du champ d’bataille, sortit la moitié d’un con. (Et allez !)
Un petit coup de Marseillaise (hola non, non !)
Un petit coup de La Madelon (j’ai dit non !)
Vive l’amour à la française. Et vive enfin le Père Lachaise.
Oooh. Tout finit au goupillon.
Ah moi mon gars je veux pas changer l’histoire, je veux rien changer du tout.
Je laiss’rai rien de rien dans les mémoires, mais je m’en fous.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding.
Ring a ding, ring a ding.
Ring a ding, ring a ding, ring a ding.
Oui je m’en fous...
* « Quand Madelon... », appelée aussi « La Madelon », est un chant populaire créé par le chanteur Bach (Charles-Joseph Pasquier), le 19 mars 1914. Il l’a interprétée devant des soldats en permission. Elle est devenue un chant militaire.
Oui je m’en fous...
* « Quand Madelon... », appelée aussi « La Madelon », est un chant populaire créé par le chanteur Bach (Charles-Joseph Pasquier), le 19 mars 1914. Il l’a interprétée devant des soldats en permission. Elle est devenue un chant militaire.
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