Paroles de la chanson Je Vous Appelle par Michèle Bernard
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Paroles de la chanson Je Vous Appelle par Michèle Bernard
Mais d'où me vient cette envie d' chanter
Même quand j'ai l' nez qui traîne par terre ?
C'est comme un orage en plein été
Une fleur qui pousse entre les pierres
Je n' peux plus attendre, excusez-moi !
Ce soir, je m' fais sauter la voix
C'est pour savoir si vous êtes vivants
Que je vous pince le cœur, en passant
Je vous appelle de ma poubelle, de mon trottoir
Je vous espère de ma gouttière, de mon placard
Je pense à vous, de mon dégoût, de ma détresse
Je vous attends, de mon printemps, de ma tendresse
Même quand j'ai l' nez qui traîne par terre ?
C'est comme un orage en plein été
Une fleur qui pousse entre les pierres
Je n' peux plus attendre, excusez-moi !
Ce soir, je m' fais sauter la voix
C'est pour savoir si vous êtes vivants
Que je vous pince le cœur, en passant
Je vous appelle de ma poubelle, de mon trottoir
Je vous espère de ma gouttière, de mon placard
Je pense à vous, de mon dégoût, de ma détresse
Je vous attends, de mon printemps, de ma tendresse
C'est pas les trois ronds que j' vais gagner
Qui me jettent encore sur les routes !
Ce boulot-là, faut être culotté
D' rêver si fort qu'on vous écoute !
Je n' peux plus attendre, excusez-moi !
Ce soir je m' fais sauter la voix
Moi, je balance mon cœur aux oiseaux
Venez vous poser sur mon chapeau
Je vous appelle de ma poubelle, de mon trottoir
Je vous espère de ma gouttière, de mon placard
Je pense à vous, de mon dégoût, de ma détresse
Je vous attends, de mon printemps, de ma tendresse
Et si on n' chantait plus sur la Terre,
Vu que c'est un job inutile ?
Imaginez des poumons sans air,
Une mer sans eau, un toit sans tuiles
Je n' peux plus attendre, excusez-moi !
Ce soir je m' fais sauter la voix
Et peu à peu, la peur m'abandonne
Dans l'écho de vos cœurs qui fredonnent
Je vous appelle de ma poubelle, de mon trottoir
Je vous espère de ma gouttière, de mon placard
Je pense à vous, de mon dégoût, de ma détresse
Je vous attends, de mon printemps, de ma tendresse
Vu que c'est un job inutile ?
Imaginez des poumons sans air,
Une mer sans eau, un toit sans tuiles
Je n' peux plus attendre, excusez-moi !
Ce soir je m' fais sauter la voix
Et peu à peu, la peur m'abandonne
Dans l'écho de vos cœurs qui fredonnent
Je vous appelle de ma poubelle, de mon trottoir
Je vous espère de ma gouttière, de mon placard
Je pense à vous, de mon dégoût, de ma détresse
Je vous attends, de mon printemps, de ma tendresse
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