Paroles de la chanson Esclave De La Liberte par Mohican
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Paroles de la chanson Esclave De La Liberte par Mohican
Je caresse la liberté, je la regarde droit dans les yeux
Je range les miettes de ma fierté dans les coulisses de ses aveux
Et je la serre comme un enfant je la sens jusqu’au bout des doigts
Moi je veux bien être son amant pourvu qu’elle ne me lâche pas
Toujours à piétiner, toujours à fouiller dans les vielles histoires
Et puis cet appétit sans bornes pour les paroles et les espoirs
Tout à l’origine, il y a les cris et les sanglots
Et ces comptines qu’on rabâche avant le grand saut
Je range les miettes de ma fierté dans les coulisses de ses aveux
Et je la serre comme un enfant je la sens jusqu’au bout des doigts
Moi je veux bien être son amant pourvu qu’elle ne me lâche pas
Toujours à piétiner, toujours à fouiller dans les vielles histoires
Et puis cet appétit sans bornes pour les paroles et les espoirs
Tout à l’origine, il y a les cris et les sanglots
Et ces comptines qu’on rabâche avant le grand saut
Des routes encore barrées par les débris des collisions
Et ces vaches sacrées qui se disputent en vain les vrais versions
À l’heure de la débâcle on choisit toujours le feu d’artifice
À vouloir se brûler les ailes, autant cacher les cicatrices
REFRAIN
Bras de fer en carton qui se dérobe quand le ton monte
Tous les bons sentiments n’apparaissent jamais dans les comptes
C’est l’hécatombe dans les rangs dès que le combat dure un peu
La bête immonde ressort toujours son fameux coup bas victorieux
Et ces vaches sacrées qui se disputent en vain les vrais versions
À l’heure de la débâcle on choisit toujours le feu d’artifice
À vouloir se brûler les ailes, autant cacher les cicatrices
REFRAIN
Bras de fer en carton qui se dérobe quand le ton monte
Tous les bons sentiments n’apparaissent jamais dans les comptes
C’est l’hécatombe dans les rangs dès que le combat dure un peu
La bête immonde ressort toujours son fameux coup bas victorieux
Heureux tous ces fêlés qui laissent passer la lumière
Ils continuent de voir plus loin, même accroupis genoux à terre
Sur le quai d’en face il y aura toujours des déçus chroniques
À chercher les emmerdements toujours le regard en oblique
REFRAIN
Elle est juste devant tu sens les traces de son passage
Plus qu’à tendre la main et la poser sur son visage
Alors tu cours comme un fêlé la tête baissée le poing en l’air
Mais la belle a pris le virage et t'a laissé nu comme un vers
Ils continuent de voir plus loin, même accroupis genoux à terre
Sur le quai d’en face il y aura toujours des déçus chroniques
À chercher les emmerdements toujours le regard en oblique
REFRAIN
Elle est juste devant tu sens les traces de son passage
Plus qu’à tendre la main et la poser sur son visage
Alors tu cours comme un fêlé la tête baissée le poing en l’air
Mais la belle a pris le virage et t'a laissé nu comme un vers
Petit à petit tu coules, tu t’oublies dans un coin
Tu patauges dans cette foule, la même dont tu te croyais loin
Tu voudrais bien pouvoir refaire mais ce serait trahir à nouveau
Dès qu'on a mis le nez derrière c’est dur de tenir le tempo
REFRAIN
Tu patauges dans cette foule, la même dont tu te croyais loin
Tu voudrais bien pouvoir refaire mais ce serait trahir à nouveau
Dès qu'on a mis le nez derrière c’est dur de tenir le tempo
REFRAIN
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