Paroles de la chanson Les Idées Brûlent par Mohican
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Paroles de la chanson Les Idées Brûlent par Mohican
Quand j'ouvre les yeux je ne vois plus que les restes de l'agitation
Trop occupé à vérifier la couleur de mes opinions
Pour voir le temps qui trace et les soupapes qui sautent
Une à une deux par deux, dans la fosse sans fond de mes vœux pieux
sûr qu’ils ont fini par m’avoir avec leurs raconteurs d'histoires
Qui distribuent partout des faux espoirs
Du coup je ne regarde plus les gens
Trop peur qu'ils me volent mon temps
Tout ça pour quoi, pour le revendre dans mon dos
Trop occupé à vérifier la couleur de mes opinions
Pour voir le temps qui trace et les soupapes qui sautent
Une à une deux par deux, dans la fosse sans fond de mes vœux pieux
sûr qu’ils ont fini par m’avoir avec leurs raconteurs d'histoires
Qui distribuent partout des faux espoirs
Du coup je ne regarde plus les gens
Trop peur qu'ils me volent mon temps
Tout ça pour quoi, pour le revendre dans mon dos
Et s'acheter des barreaux
D'un côté je vois les « pour » qui jouent le jeu et qui s'amusent
Ceux qu'ont bien lu les règles depuis le temps que ça infuse
Ils se régalent de ramasser les seuls gagnants du grand marché
Avec les poches tellement pleines qu'ils bougent avec difficulté
A l'opposé il y a les « vrais » et leurs leçons
Tous ceux qui ont compris et qui m'expliquent en pétition
Ce qu'il ne faut pas faire, le bien le mal et le dessein
Les nouveaux curés qui t'invitent à venir manger dans leurs mains.
D'un côté je vois les « pour » qui jouent le jeu et qui s'amusent
Ceux qu'ont bien lu les règles depuis le temps que ça infuse
Ils se régalent de ramasser les seuls gagnants du grand marché
Avec les poches tellement pleines qu'ils bougent avec difficulté
A l'opposé il y a les « vrais » et leurs leçons
Tous ceux qui ont compris et qui m'expliquent en pétition
Ce qu'il ne faut pas faire, le bien le mal et le dessein
Les nouveaux curés qui t'invitent à venir manger dans leurs mains.
Envie de courir, semer les sûrs et les certains
Il serait temps qu'on sache écouter les discours jusqu'à la fin
Qu'il y ait de l'air qui passe entre les paragraphes
Et au final qu'on ait le doute en majuscule comme épitaphe
Qu'est ce qu'on fait de ces cris qu'on jette comme des confettis
Qu'est ce qu'on veut décorer, finies les couleurs au rabais
Il faudra bien qu'on ait les ambitions à la hauteur
De ce qu'il nous reste enfin quand on range nos billets d'humeur
C'est pas lui, c'est pas moi, toujours la faute de nos rois
Ils sont trop loin, ils sont trop peu, laissons-les s'amuser entre eux
Alors on s'organise et chacun souffle à sa mesure
C'est toujours les petites mains qui font tomber les murs
Les idées brûlent, sans odeur et sans bruits
Les gens regardent, écoutent et filent sans laisser d'avis
Le spectacle est à la hauteur alors on ne vérifie pas
Si derrière les rideaux c'est encore la peste et le choléra
Sûr qu'il faudra plisser les yeux et rester silencieux
Planter tes dents sans assurance de savoir le goût à l'avance
Avec un mot tu peux déjà pousser la porte
Alors on s'organise et chacun souffle à sa mesure
C'est toujours les petites mains qui font tomber les murs
Les idées brûlent, sans odeur et sans bruits
Les gens regardent, écoutent et filent sans laisser d'avis
Le spectacle est à la hauteur alors on ne vérifie pas
Si derrière les rideaux c'est encore la peste et le choléra
Sûr qu'il faudra plisser les yeux et rester silencieux
Planter tes dents sans assurance de savoir le goût à l'avance
Avec un mot tu peux déjà pousser la porte
Quand t'en as deux c'est plus les atouts qui l'emportent
Il y a bien ces dandys qui se baladent autour de moi
Et qui sourient en me voyant planquer mes dossiers sous mon bras
Je les suis d'un œil, ils défilent en paquets
Je tente bien comme je peux de les apprivoiser
J'abîme mes envie à grand coup de pression
Et je les matte quand elles montent à plusieurs sur le front
Mais à trop vouloir s'improviser patron d'usine à paroles
On finit par manger des grands coups de bâton pour le symbole
Qu'est ce qu'on fait de ces cris qu'on jette comme des confettis
Il y a bien ces dandys qui se baladent autour de moi
Et qui sourient en me voyant planquer mes dossiers sous mon bras
Je les suis d'un œil, ils défilent en paquets
Je tente bien comme je peux de les apprivoiser
J'abîme mes envie à grand coup de pression
Et je les matte quand elles montent à plusieurs sur le front
Mais à trop vouloir s'improviser patron d'usine à paroles
On finit par manger des grands coups de bâton pour le symbole
Qu'est ce qu'on fait de ces cris qu'on jette comme des confettis
Qu'est ce qu'on veut décorer, finies les couleurs au rabais
Il faudra bien qu'on ait les ambitions à la hauteur
De ce qu'il nous reste enfin quand on range nos billets d'humeur
C'est pas lui, c'est pas moi, toujours la faute de nos rois
Ils sont trop loin, ils sont trop peu, laissons-les s'amuser entre eux
Alors on s'organise et chacun souffle à sa mesure
C'est toujours les petites mains qui font tomber les murs
Il faudra bien qu'on ait les ambitions à la hauteur
De ce qu'il nous reste enfin quand on range nos billets d'humeur
C'est pas lui, c'est pas moi, toujours la faute de nos rois
Ils sont trop loin, ils sont trop peu, laissons-les s'amuser entre eux
Alors on s'organise et chacun souffle à sa mesure
C'est toujours les petites mains qui font tomber les murs
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