Paroles de la chanson Réfugiés par Mohican
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Paroles de la chanson Réfugiés par Mohican
Et c’est la guerre contre la paix
La paix qui te regarde couler
L’air de dire j’ai tout tenté, toi tu balades ta figure d’innocenté
Et c’est la guerre contre la paix
La paix qui te regarde couler
L’air de dire j’ai tout tenté
Regarde moi dans les yeux quand je me noie dans ta pitié
Lassé par le bruit du vent ordinaire
Je te quitte aujourd’hui, demain tu seras fière
La paix qui te regarde couler
L’air de dire j’ai tout tenté, toi tu balades ta figure d’innocenté
Et c’est la guerre contre la paix
La paix qui te regarde couler
L’air de dire j’ai tout tenté
Regarde moi dans les yeux quand je me noie dans ta pitié
Lassé par le bruit du vent ordinaire
Je te quitte aujourd’hui, demain tu seras fière
Et ce dernier sourire, tatoué dans ma chair
Je range bien la peur au fond de mes affaires,
Je pars jouer ma vie, on verra si je perds
Des larmes sans fin , et tes bras qui me serrent
Plus le temps de se dire, vient le temps de se taire
Et la peur en décor
Et cette odeur de mort
Je me sens comme un rat dans un couloir immense sans écho et lassé de crier en silence
REFRAIN
Je compte plus les frontières que j’ai dû traverser
Autant de pays et de terres dont je suis l'étranger
Je range bien la peur au fond de mes affaires,
Je pars jouer ma vie, on verra si je perds
Des larmes sans fin , et tes bras qui me serrent
Plus le temps de se dire, vient le temps de se taire
Et la peur en décor
Et cette odeur de mort
Je me sens comme un rat dans un couloir immense sans écho et lassé de crier en silence
REFRAIN
Je compte plus les frontières que j’ai dû traverser
Autant de pays et de terres dont je suis l'étranger
Parfois on me sourit et on me tend la main
Parfois c’est le mépris qui balise mon chemin
Il faut tendre l’oreille pour attraper l’info
Alors je me tiens prêt j’écoute les ragots
J’entends parler d’un homme qui sait faire passer
Je dégotte son nom je vais le rencontrer
J’ai gardé mon pécule, pour ce moment précis
Je commence à comprendre, que tout se joue ici
Alors le plan s’amorce je me noie dans la masse,
J’écoute les consignes en pensant à la passe,
Il faut freiner la peur qui hurle dans ma tête,
Il me faut de la place pour des pensées concrètes
Je vois bien qu’on est trop dans ce rafiot usé
Équipiers circonstants, camarades forcés, matelots condamnés
Parfois c’est le mépris qui balise mon chemin
Il faut tendre l’oreille pour attraper l’info
Alors je me tiens prêt j’écoute les ragots
J’entends parler d’un homme qui sait faire passer
Je dégotte son nom je vais le rencontrer
J’ai gardé mon pécule, pour ce moment précis
Je commence à comprendre, que tout se joue ici
Alors le plan s’amorce je me noie dans la masse,
J’écoute les consignes en pensant à la passe,
Il faut freiner la peur qui hurle dans ma tête,
Il me faut de la place pour des pensées concrètes
Je vois bien qu’on est trop dans ce rafiot usé
Équipiers circonstants, camarades forcés, matelots condamnés
Il avance trop peu ce bateau de vautours qui patauge dans l’eau comme un colis trop lourd
Un éléphant de mer rempli de passagers
qui débordent partout et de tous les côtés
Et le vent qui se lève
En même temps que l’espoir qui s’achève
Et la fin de mes rêves
Vient la peur en série, et les larmes et les cris
Puis la mer se défoule et le bateau s’écroule
REFRAIN
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