Paroles de la chanson Le coffre par Mon Côté Punk
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Paroles de la chanson Le coffre par Mon Côté Punk
Dans le coffre-fort d'Allain Leprest
Il y a un trésor
Mais nul ne sait
Ce qu'il en est
Je l'imagine venu à bord
D'un vieux bateau de poussière
Le capitaine ne serait qu'oeil poché
Ou jambe de bois
Régnerait sans merci sur les océans
Et la vue d'une voile au vent
Lui f'rait hisser drapeau noir
Il a dû en faire au fond de sa cale
Des milles et des miles
De long en large
A en avoir le mal, le mal de mer
Il y a un trésor
Mais nul ne sait
Ce qu'il en est
Je l'imagine venu à bord
D'un vieux bateau de poussière
Le capitaine ne serait qu'oeil poché
Ou jambe de bois
Régnerait sans merci sur les océans
Et la vue d'une voile au vent
Lui f'rait hisser drapeau noir
Il a dû en faire au fond de sa cale
Des milles et des miles
De long en large
A en avoir le mal, le mal de mer
Un de ces trucs comme ça
Qui vous tord les boyaux
Et vous rend malade
Pour une décennie
Mais le coffre, lui
N'a jamais dégoupillé son trésor
Ce coffre, je le devine d'un autre monde
En table de chevet pour monsieur l'empereur
Confident pour Nostradamus
Ou Catherine de Médicis
En trophée Jules Verne
Qu'on camouflerait aux aventuriers
Je le vois plein de contes
Qu'on ne raconterait qu'aux enfants
Histoires de pirates
De Ramsès, de princes
Et que dire de ceci et de cela
Qui vous tord les boyaux
Et vous rend malade
Pour une décennie
Mais le coffre, lui
N'a jamais dégoupillé son trésor
Ce coffre, je le devine d'un autre monde
En table de chevet pour monsieur l'empereur
Confident pour Nostradamus
Ou Catherine de Médicis
En trophée Jules Verne
Qu'on camouflerait aux aventuriers
Je le vois plein de contes
Qu'on ne raconterait qu'aux enfants
Histoires de pirates
De Ramsès, de princes
Et que dire de ceci et de cela
De ce vieux coffre de ferraille
Qui ne f'rait même pas briller
Une dent cariée
Pas besoin de le dégonder
De le dessouder
Encore moins de le dérober
Ni même de tour de clé
Ce ne serait que perte de temps
Nous sommes restés des heures
A genoux face à ce coffre
On l'a caressé
Comme Arsène Lupin l'aurait fait
Secoué tels des bandits de passage
Sans aucun résultat
On lui a même mis les quatre pieds en l'air
Pour le rendre moins fier
Des sourires plein la gueule
On s'est vautré à terre
Qui ne f'rait même pas briller
Une dent cariée
Pas besoin de le dégonder
De le dessouder
Encore moins de le dérober
Ni même de tour de clé
Ce ne serait que perte de temps
Nous sommes restés des heures
A genoux face à ce coffre
On l'a caressé
Comme Arsène Lupin l'aurait fait
Secoué tels des bandits de passage
Sans aucun résultat
On lui a même mis les quatre pieds en l'air
Pour le rendre moins fier
Des sourires plein la gueule
On s'est vautré à terre
Pendant que l'horloge dansait
Au rythme des minutes et des heures
Nous avons laissé voyager par mégarde
Nos pensées d'enfants rêveurs
Finis les rêves et les voyages
La réalité a repris ses droits
Toujours le vide dans nos poches
Et nos coeurs en balloche
Mais il nous reste entre les doigts
Le contenant de ce que l'on boit
Dans le coffre-fort d'Allain Leprest
Il y a un trésor
Mais nul ne saura jamais
Ce qu'il en est
Jamais
Jamais
Au rythme des minutes et des heures
Nous avons laissé voyager par mégarde
Nos pensées d'enfants rêveurs
Finis les rêves et les voyages
La réalité a repris ses droits
Toujours le vide dans nos poches
Et nos coeurs en balloche
Mais il nous reste entre les doigts
Le contenant de ce que l'on boit
Dans le coffre-fort d'Allain Leprest
Il y a un trésor
Mais nul ne saura jamais
Ce qu'il en est
Jamais
Jamais
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