Paroles de la chanson Les Derniers Hommes par Mon Côté Punk
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Paroles de la chanson Les Derniers Hommes par Mon Côté Punk
C’est la marche de ces hommes, ceux qui n’ont pas appris à parler
Harassés par le métronome, qui dicte les pas de leurs journées
Comme un accord et sans vergogne, ils décidèrent de tout casser
Ils changeront la face du monde et commenceront par le défigurer
Salir les femmes, humilier les hommes, qui sans nectar voulaient vivre en paix
Dans leur environnement de pomme, pour y grandir pour évoluer
Cette envie de vivre que l’on s’redonne, aux enfants venus les retrouver
Mais ils les stopperont en loi de corde, pour les pendre à leurs idées
Harassés par le métronome, qui dicte les pas de leurs journées
Comme un accord et sans vergogne, ils décidèrent de tout casser
Ils changeront la face du monde et commenceront par le défigurer
Salir les femmes, humilier les hommes, qui sans nectar voulaient vivre en paix
Dans leur environnement de pomme, pour y grandir pour évoluer
Cette envie de vivre que l’on s’redonne, aux enfants venus les retrouver
Mais ils les stopperont en loi de corde, pour les pendre à leurs idées
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Aimer l’amour et prendre sa main, tu peux pas, tu peux pas...
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
Car être libre de bonheur, tu peux pas, ça s’fait pas
Alors l’enfant intègre tout ça, lui le fan de GTA
Il décide de mettre à sa ceinture, comme pour un dernier éclat
Quelque chose qui mettra d’accord, qui explosera tous les débats
C’est plus facile la vie des hommes, parfois quand on n’a pas le choix
Mais le parfois te met en doute et le doute ralentit tes pas
Tu repenses à tous ces mois d’août, où tu n’avais pas cette pression là
Tu te gavais de Makroud et de bonbons au chocolat
Tu n’avais pas à choisir de route, tu la construisais pas à pas
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Il décide de mettre à sa ceinture, comme pour un dernier éclat
Quelque chose qui mettra d’accord, qui explosera tous les débats
C’est plus facile la vie des hommes, parfois quand on n’a pas le choix
Mais le parfois te met en doute et le doute ralentit tes pas
Tu repenses à tous ces mois d’août, où tu n’avais pas cette pression là
Tu te gavais de Makroud et de bonbons au chocolat
Tu n’avais pas à choisir de route, tu la construisais pas à pas
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Aimer l’amour et prendre sa main, tu peux pas, tu peux pas...
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
Car être libre de bonheur, tu peux pas, ça s’fait pas
C’est la marche des derniers hommes, ceux qui n’ont pas pu parler
Ceux qui n’ont pas su se faire entendre, par des sauvages enragés
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
Car être libre de bonheur, tu peux pas, ça s’fait pas
C’est la marche des derniers hommes, ceux qui n’ont pas pu parler
Ceux qui n’ont pas su se faire entendre, par des sauvages enragés
Parce que leurs voix étaient trop faibles,
Parce que leurs voix étaient trop douces
Et qu’avec le bruit du monde, elles n’agissaient jamais, jamais, jamais...
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Aimer l’amour et prendre sa main, tu peux pas, tu peux pas...
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
Parce que leurs voix étaient trop douces
Et qu’avec le bruit du monde, elles n’agissaient jamais, jamais, jamais...
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Aimer l’amour et prendre sa main, tu peux pas, tu peux pas...
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
Car être libre de bonheur, tu peux pas, ça s’fait pas
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Aimer l’amour et prendre sa main, tu peux pas, tu peux pas...
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
CAR ÊTRE LIBRE DE BONHEUR, C’EST COMME ÇA QU’ON VIVRA
Croire en elle, avec elle, tu peux pas, tu peux pas...
Aimer l’amour et prendre sa main, tu peux pas, tu peux pas...
Et le sport dans tout ça, t’as pas le droit, t’as pas le droit...
L’inviter à danser, alors là, ça s’fait pas
La pousser à fleurir, tu peux pas, tu peux pas...
Boire l’alcool dans ses bras, tu peux pas, tu peux pas...
Car être ivre de bonheur, tu peux pas, tu peux pas...
CAR ÊTRE LIBRE DE BONHEUR, C’EST COMME ÇA QU’ON VIVRA
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