Paroles de la chanson Antisocial 2005 par Monsieur R
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Paroles de la chanson Antisocial 2005 par Monsieur R
Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale
Tu masques ton visage en lisant ton journal
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro
Les gens te touchent pas il faut faire le premier pas
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balles
Tu voudrais donner des yeux à la justice
Mais à la fin t'es sourd et rempli de vices
Antisocial tu perds ton sang-froid
Repense à toutes ces années de service
Antisocial bientôt des années de sévices
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus
Tu masques ton visage en lisant ton journal
Tu marches tel un robot dans les couloirs du métro
Les gens te touchent pas il faut faire le premier pas
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balles
Tu voudrais donner des yeux à la justice
Mais à la fin t'es sourd et rempli de vices
Antisocial tu perds ton sang-froid
Repense à toutes ces années de service
Antisocial bientôt des années de sévices
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus
Qu'on ne rattrape plus...
Écraser les gens est devenu ton passe-temps
En les éclaboussant tu deviens gênant
Dans ton désespoir il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard
Et moins bâtards
Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings
Bouge de ta retraite
Ta conduite est trop parfaite
Relève la gueule, je suis la et t'es pas seul
Celui qui hier t'enviait aujourd'hui te jugerait
On voyage tout nu dans un train sans regarder derrière nous
Arrivé à bon port on s'aperçoit que les sourds sont restés derrière nous
La misère a aseptisé
Écraser les gens est devenu ton passe-temps
En les éclaboussant tu deviens gênant
Dans ton désespoir il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard
Et moins bâtards
Mais cesse de faire le point, serre plutôt les poings
Bouge de ta retraite
Ta conduite est trop parfaite
Relève la gueule, je suis la et t'es pas seul
Celui qui hier t'enviait aujourd'hui te jugerait
On voyage tout nu dans un train sans regarder derrière nous
Arrivé à bon port on s'aperçoit que les sourds sont restés derrière nous
La misère a aseptisé
Les plus faibles
Il est tel la justice de nos jours ne sont plus fiables
Antisocial tu perds ton sang-froid
Repense à toutes ces années de service
Antisocial tu perds ton sang froid
Antisocial bientôt des années de sévices
Encore le temps perdu qu'on ne rattrape plus
Qu'on ne rattrape plus...
Il est tel la justice de nos jours ne sont plus fiables
Antisocial tu perds ton sang-froid
Repense à toutes ces années de service
Antisocial tu perds ton sang froid
Antisocial bientôt des années de sévices
Encore le temps perdu qu'on ne rattrape plus
Qu'on ne rattrape plus...
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