Paroles de la chanson La Même Peine par Mourir D'aimer, Les Amants Maudits
Chanson manquante pour "Mourir D'aimer, Les Amants Maudits" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "La Même Peine"
Proposer une correction des paroles de "La Même Peine"
Paroles de la chanson La Même Peine par Mourir D'aimer, Les Amants Maudits
Quatre murs et des barreaux pour seul horizon.
Enfermée par mes bourreaux, c’est ma punition.
Croyez-vous que mon esprit reste prisonnier ?
Je n’suis pas à la merci de mes geôliers.
Je vais et viens sans entraves comme une femme libre.
Toujours sage, jamais ne brave, ce bel équilibre.
Et vous me croyez heureuse au fond de ma maison.
Je suis toujours silencieuse, dans cette prison.
Mes liens sont invisibles, pas la moindre liberté.
Mes murs sont invincibles, mais je peux toujours rêver.
Enfermée par mes bourreaux, c’est ma punition.
Croyez-vous que mon esprit reste prisonnier ?
Je n’suis pas à la merci de mes geôliers.
Je vais et viens sans entraves comme une femme libre.
Toujours sage, jamais ne brave, ce bel équilibre.
Et vous me croyez heureuse au fond de ma maison.
Je suis toujours silencieuse, dans cette prison.
Mes liens sont invisibles, pas la moindre liberté.
Mes murs sont invincibles, mais je peux toujours rêver.
Libre malgré les chaînes, prisonnière sous les étoiles.
C’est une même peine que nos deux vies dévoilent.
Même si je n’peux plus bouger, en moi, je dissimule.
J’ai des pensées par milliers qui se bousculent.
Croyez-vous, pouvoir les prendre ? Ou me les voler ?
Il me suffit de m’étendre pour m’évader !
Je suis belle en apparence, mais dans mes sourires,
Je cache une vraie souffrance et je chavire.
Les règles et les convenances me désespèrent.
Tout ça n’a pas d’importance, ça m’indiffère.
C’est une même peine que nos deux vies dévoilent.
Même si je n’peux plus bouger, en moi, je dissimule.
J’ai des pensées par milliers qui se bousculent.
Croyez-vous, pouvoir les prendre ? Ou me les voler ?
Il me suffit de m’étendre pour m’évader !
Je suis belle en apparence, mais dans mes sourires,
Je cache une vraie souffrance et je chavire.
Les règles et les convenances me désespèrent.
Tout ça n’a pas d’importance, ça m’indiffère.
Mes liens sont invisibles, pas la moindre liberté.
Mes murs sont invincibles, mais je peux toujours rêver.
Libre malgré les chaînes, prisonnière sous les étoiles.
C’est une même peine que nos deux vies dévoilent.
C’est une même peine que nos deux vies dévoilent.
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)
Concerts d'Indochine
