Paroles de la chanson Les maux de la fin par Nagas
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Paroles de la chanson Les maux de la fin par Nagas
Relève-moi quand je touche la terre
Les autres sont là-bas dans ma tête y'a comme une guerre
Regarde-moi esquiver ma colère
Le sol est si las, doré par toutes les prières
J'entends des voix et des cris de misère
Tout le monde s'en va, j'entends pleurer le verre
Le feu est si froid que je sens dans mes artères
Couler le magma comme une houle sous une galère
Mes aiguilles tournent à l'envers, le ciel se remplit d'éclairs
Les cœurs ressemblent au désert, la douleur brise les barrières
Tous les enfants que je ne verrai pas naître
Les autres sont là-bas dans ma tête y'a comme une guerre
Regarde-moi esquiver ma colère
Le sol est si las, doré par toutes les prières
J'entends des voix et des cris de misère
Tout le monde s'en va, j'entends pleurer le verre
Le feu est si froid que je sens dans mes artères
Couler le magma comme une houle sous une galère
Mes aiguilles tournent à l'envers, le ciel se remplit d'éclairs
Les cœurs ressemblent au désert, la douleur brise les barrières
Tous les enfants que je ne verrai pas naître
Quand ils seront grands, penseront ils comme tous leurs maîtres ?
Tous les puissants qui éteignent les comètes
Qu'ils soient maudits vivants qu'ils soient refoulés par les prêtres
Et maintenant que faire contre les traîtres
Révoltons-nous vraiment, cassons les barreaux des fenêtres
Que nos enfants ne meurent plus comme des bêtes
Qu'ils vivent jusqu'à 100 ans sans plus jamais baisser la tête
Mes aiguilles tournent à l'envers, le ciel se remplit d'éclairs
Les cœurs ressemblent au désert, la douleur brise les barrières
Si tous les hommes s'attendaient
Tous les puissants qui éteignent les comètes
Qu'ils soient maudits vivants qu'ils soient refoulés par les prêtres
Et maintenant que faire contre les traîtres
Révoltons-nous vraiment, cassons les barreaux des fenêtres
Que nos enfants ne meurent plus comme des bêtes
Qu'ils vivent jusqu'à 100 ans sans plus jamais baisser la tête
Mes aiguilles tournent à l'envers, le ciel se remplit d'éclairs
Les cœurs ressemblent au désert, la douleur brise les barrières
Si tous les hommes s'attendaient
Si tous les hommes s'épaulaient
Si tous les hommes, si tous les hommes,
Si tous les hommes, si tous les hommes,
Si tous les hommes pouvaient s'épauler
Mes aiguilles tournent à l'envers, le ciel se remplit d'éclairs
Les cœurs ressemblent au désert, la douleur brise les barrières
Si tous les hommes, si tous les hommes,
Si tous les hommes, si tous les hommes,
Si tous les hommes pouvaient s'épauler
Mes aiguilles tournent à l'envers, le ciel se remplit d'éclairs
Les cœurs ressemblent au désert, la douleur brise les barrières
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