Paroles de la chanson 999 par Nedelko
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Paroles de la chanson 999 par Nedelko
Quelques mètres en plus, une vingtaine de collines
Le ciel en angle obtus, les minutes sont audibles
Les silences qu'on domine ne sont que des obus
Et la part d'ombre occupe, l'esprit se rend, promis
La face muette prend le dessus, embrassant les fantasmes
Une jeune maladie s'immisce en gâchant les au revoir
Jusqu'à pousser au supplice elle s'en allait mais sans moi
J'aurai voulu l'enlacer mais désormais c'est trop tard
Le ciel en angle obtus, les minutes sont audibles
Les silences qu'on domine ne sont que des obus
Et la part d'ombre occupe, l'esprit se rend, promis
La face muette prend le dessus, embrassant les fantasmes
Une jeune maladie s'immisce en gâchant les au revoir
Jusqu'à pousser au supplice elle s'en allait mais sans moi
J'aurai voulu l'enlacer mais désormais c'est trop tard
Mais je suis presque satisfait d'hériter de cette vie
Dans laquelle un cerveau mort mais alité se guérit
Bientôt ne verrait, mon corps fatigué se raidit
Quand même les feuilles rougissent de honte à l'idée de vieillir
999 mois, 999 jours, 999 nuits
999 moi, 999 toi, 999 lui
Il n'y aura jamais deux sans ce mort
J'ai pris l'étroitesse au sens large
Je ne serais rien sans toi
Seul l'équilibre transforme
Il n'y aura jamais deux sans ce mort
J'ai pris l'étroitesse au sens large
Je ne serais rien sans toi
Dans laquelle un cerveau mort mais alité se guérit
Bientôt ne verrait, mon corps fatigué se raidit
Quand même les feuilles rougissent de honte à l'idée de vieillir
999 mois, 999 jours, 999 nuits
999 moi, 999 toi, 999 lui
Il n'y aura jamais deux sans ce mort
J'ai pris l'étroitesse au sens large
Je ne serais rien sans toi
Seul l'équilibre transforme
Il n'y aura jamais deux sans ce mort
J'ai pris l'étroitesse au sens large
Je ne serais rien sans toi
Seul l'équilibre transforme
Créant dans l'ombre j'ai trouvé le temps long
Même mes chansons se moquent... de moi
J'ai accepté ma part d'ombre
Je lui ai demandé pardon
Je lui ai demandé pardon
J'ai accepté ma part d'ombre
Je lui ai demandé pardon
Je lui ai demandé pardon
La ville quadrillée, la coupole brillante
J'entends les bruits de silence, le vide est calibré
Le rien désassemblé, les cheptels vilipendent
Le cœur bat rythmiquement, j'ai la tête à l'envers
Créant dans l'ombre j'ai trouvé le temps long
Même mes chansons se moquent... de moi
J'ai accepté ma part d'ombre
Je lui ai demandé pardon
Je lui ai demandé pardon
J'ai accepté ma part d'ombre
Je lui ai demandé pardon
Je lui ai demandé pardon
La ville quadrillée, la coupole brillante
J'entends les bruits de silence, le vide est calibré
Le rien désassemblé, les cheptels vilipendent
Le cœur bat rythmiquement, j'ai la tête à l'envers
Je n'ai pas les mots, par l'haleine on se comprend
Laisser la perfection partir et lui souhaiter bon vent
Pourquoi déjà trouver ce que nous chercherons longtemps ?
Je les ai remercié, les jours passés sont contents
J'ai vu le bout du monde et l'hiver m'a manqué
Je l'ai senti gémir quand la terre a tremblée
J'apprends à absorber comme on accueille la tempête
Je suis revenu mais je ne pense plus à rentrer
Il m'est passé l'envie d'enflammer les cieux
J'ai le même regard mais pas les mêmes yeux
Laisser la perfection partir et lui souhaiter bon vent
Pourquoi déjà trouver ce que nous chercherons longtemps ?
Je les ai remercié, les jours passés sont contents
J'ai vu le bout du monde et l'hiver m'a manqué
Je l'ai senti gémir quand la terre a tremblée
J'apprends à absorber comme on accueille la tempête
Je suis revenu mais je ne pense plus à rentrer
Il m'est passé l'envie d'enflammer les cieux
J'ai le même regard mais pas les mêmes yeux
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