Paroles de la chanson Barrio par Nej'
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Paroles de la chanson Barrio par Nej'
Monte le son dans le casque steuplait
Mes rêves viennent du sud, j’ai pris le large, je ne ferai pas demi-tour
Lis-le sur mes lèvres, ressent ma rage, de vaincre
Et j’ai versé des larmes, ma douleur est mon arme, fuyez
Je reviens d’un endroit, où j’ai vu beaucoup d’âmes souillées, souillées
Mais malgré tout, je ne regrette rien, je sais que j’y arriverai
Tous les jours, je bosse non stop pour quitter le
Mes rêves viennent du sud, j’ai pris le large, je ne ferai pas demi-tour
Lis-le sur mes lèvres, ressent ma rage, de vaincre
Et j’ai versé des larmes, ma douleur est mon arme, fuyez
Je reviens d’un endroit, où j’ai vu beaucoup d’âmes souillées, souillées
Mais malgré tout, je ne regrette rien, je sais que j’y arriverai
Tous les jours, je bosse non stop pour quitter le
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet
Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent
Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
Dites-moi qu’est-ce qui pourra m’arrêter
À part la mort ou la maladie qui peut me stopper
Papa regarde où en est ta fille
Toujours à défendre tous nos principes
Mais dans ce milieu ça pourrait me nuire
Je leur donne quand même mon plus beau sourire
Ils veulent me pousser dans le vide
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet
Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent
Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
Dites-moi qu’est-ce qui pourra m’arrêter
À part la mort ou la maladie qui peut me stopper
Papa regarde où en est ta fille
Toujours à défendre tous nos principes
Mais dans ce milieu ça pourrait me nuire
Je leur donne quand même mon plus beau sourire
Ils veulent me pousser dans le vide
Et voudraient me faire croire que toutes les places sont prises
Jours après jours je m’écris, sachant qu’ils me négligent
Sans parler qu’ils me méprisent
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet
Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent
Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
La route est longue, la route est longue
Je continue ma marche, je continue ma course
La route est longue, la route est longue
Jours après jours je m’écris, sachant qu’ils me négligent
Sans parler qu’ils me méprisent
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet
Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent
Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
La route est longue, la route est longue
Je continue ma marche, je continue ma course
La route est longue, la route est longue
La route est longue, la route est longue
Je continue ma marche, je continue ma course
La route est longue, la route est longue
La route est longue
Barrio, barrio, là où les gens n’ont pas peur de se salir
Barrio, barrio, on n’a pas peur de viser le sommet
Depuis ma fenêtre sept jour sur sept, j’entends les sirènes qui résonnent
Les armes de l’est, cachées sous les vestes oh yeah
Eh barrio, barrio eh
Eh barrio, barrio eh
Eh barrio, barrio eh
Eh barrio, barrio eh
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