Paroles de la chanson Légende d'hiver par Nessbeal
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Paroles de la chanson Légende d'hiver par Nessbeal
Légende d'hiver c'est moi, une icône pour les âmes grises
C'est la crise, attend qu'la pluie tombe derrière la vitre
Les journées passent vite, pour les âmes tristes
Menottés à l'automne, le brouillard s'invite dans nos vies
Pour s'réchauffer, ça boit des litres
Les gens qui dorment dehors savent que le froid n'est pas un pitre
"La planète est petite" tu t'dis quand t'es seul
Rien à faire le dimanche, heureusement qu'y a la console
La camisole en banlieue, c'est tous les jours dimanche
C'est la crise, attend qu'la pluie tombe derrière la vitre
Les journées passent vite, pour les âmes tristes
Menottés à l'automne, le brouillard s'invite dans nos vies
Pour s'réchauffer, ça boit des litres
Les gens qui dorment dehors savent que le froid n'est pas un pitre
"La planète est petite" tu t'dis quand t'es seul
Rien à faire le dimanche, heureusement qu'y a la console
La camisole en banlieue, c'est tous les jours dimanche
Dans la cour d'école, la neige tombe, j'attends ma revanche
L'été est parti il a fait fondre mon avance
Déficitaire à la SACEM, un joint d'seum j'écris ma souffrance
La vodka pour faire monter les degrés
Camouflé dans une parka vers le soleil j'rêve d'émigrer
Les feuilles tombent des arbres comme les miens
Ceux qui restent dehors, se comptent sur les doigts d'une main
[K-Reen]
Même à bout de souffle les larmes restent froides
Triste comme la pluie, qui tombe et coule sur le fil de la vie
Même si au bout du jour il n'y a que la nuit et ses jeux interdits
L'été est parti il a fait fondre mon avance
Déficitaire à la SACEM, un joint d'seum j'écris ma souffrance
La vodka pour faire monter les degrés
Camouflé dans une parka vers le soleil j'rêve d'émigrer
Les feuilles tombent des arbres comme les miens
Ceux qui restent dehors, se comptent sur les doigts d'une main
[K-Reen]
Même à bout de souffle les larmes restent froides
Triste comme la pluie, qui tombe et coule sur le fil de la vie
Même si au bout du jour il n'y a que la nuit et ses jeux interdits
Qui volent et courent comme la poudre qu'on se jette aux yeux
La légende d'hiver s'écrit au parpaing
Les huissiers c'est le Père Noël, ils t'prennent tout, même ton sapin
Pour certains les fêtes sont cruelles, ils bouffent un festin
Au charbon en silence, dans les ruelles le matin
Célibataire, l'bonhomme de neige te roule un patin
J'ai raté l'entretien, je m'inquiète pas, l'avenir m'appartient
La brume d'ahya jusqu'à Porte de Pantin
Rhoya chante mon déclin, on s'bat pour tout ce qu'on obtient
C'est l'Alaska, mon cœur n'arrive plus à faire "boum boum"
La légende d'hiver s'écrit au parpaing
Les huissiers c'est le Père Noël, ils t'prennent tout, même ton sapin
Pour certains les fêtes sont cruelles, ils bouffent un festin
Au charbon en silence, dans les ruelles le matin
Célibataire, l'bonhomme de neige te roule un patin
J'ai raté l'entretien, je m'inquiète pas, l'avenir m'appartient
La brume d'ahya jusqu'à Porte de Pantin
Rhoya chante mon déclin, on s'bat pour tout ce qu'on obtient
C'est l'Alaska, mon cœur n'arrive plus à faire "boum boum"
Ma Doudoune ? Un gilet pare-balle, la saison tourne en boucle
J'suis rarement là, chérie j'comprends pourquoi tu boudes
J'assume mes bourdes, arrêtes de croire qu'j'en ai rien à foutre !
Mc, prépares-toi, j'arrive sur toi comme la foudre
Pour toujours la poisse au cul, si la poudre tu la fourgues
Les feuilles tombent des arbres comme les miens
Ceux qui restent dehors, se comptent sur les doigts d'une main
Même à bout de souffle les larmes restent froides
Triste comme la pluie, qui tombe et coule sur le fil de la vie
J'suis rarement là, chérie j'comprends pourquoi tu boudes
J'assume mes bourdes, arrêtes de croire qu'j'en ai rien à foutre !
Mc, prépares-toi, j'arrive sur toi comme la foudre
Pour toujours la poisse au cul, si la poudre tu la fourgues
Les feuilles tombent des arbres comme les miens
Ceux qui restent dehors, se comptent sur les doigts d'une main
Même à bout de souffle les larmes restent froides
Triste comme la pluie, qui tombe et coule sur le fil de la vie
Même si au bout du jour il n'y a que la nuit et ses jeux interdits
Qui volent et courent comme la poudre qu'on se jette aux yeux
Mirage ! Légende d'hiver, un chameau marche en Sibérie
Sur la banquise, les roses poussent pas à Fleury
Une perquise, la vie te balafre comme Ribéry
On se ballade la nuit, en taxi je fais le tour de Paris
Un spliff mon safari, c'est quoi le tarif ?
Ça vient du Rif, Maroc sticky sur le Périph'
Légende d'hiver ils comprennent pas nos hiéroglyphes
Si Picasso peint mon barrio c'est rouge sang émotif
Et pas d'un rose naïf
Qui volent et courent comme la poudre qu'on se jette aux yeux
Mirage ! Légende d'hiver, un chameau marche en Sibérie
Sur la banquise, les roses poussent pas à Fleury
Une perquise, la vie te balafre comme Ribéry
On se ballade la nuit, en taxi je fais le tour de Paris
Un spliff mon safari, c'est quoi le tarif ?
Ça vient du Rif, Maroc sticky sur le Périph'
Légende d'hiver ils comprennent pas nos hiéroglyphes
Si Picasso peint mon barrio c'est rouge sang émotif
Et pas d'un rose naïf
C'est de la poudreuse ma prose
Je suis sans espoir comme une manif
Stratège ivre, y a du givre dans le cortège
Légende d'hiver n'a jamais fait de solfège
Que Dieu me protège de la folie, trop de gamberges
Interminables sont les journées quand tu montes dans le manège
Les feuilles tombent des arbres comme les miens
Ceux qui restent dehors se comptent sur les doigts d'une main
Même à bout de souffle les larmes restent froides
Triste comme la pluie, qui tombe et coule sur le fil de la vie
Même si au bout du jour il n'y a que la nuit et ses jeux interdits
Je suis sans espoir comme une manif
Stratège ivre, y a du givre dans le cortège
Légende d'hiver n'a jamais fait de solfège
Que Dieu me protège de la folie, trop de gamberges
Interminables sont les journées quand tu montes dans le manège
Les feuilles tombent des arbres comme les miens
Ceux qui restent dehors se comptent sur les doigts d'une main
Même à bout de souffle les larmes restent froides
Triste comme la pluie, qui tombe et coule sur le fil de la vie
Même si au bout du jour il n'y a que la nuit et ses jeux interdits
Qui volent et courent comme la poudre qu'on se jette aux yeux
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