Paroles de la chanson Les chiens par Nicolas Jules
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Paroles de la chanson Les chiens par Nicolas Jules
Tu avais appris à
te méfier de tout
du brutal et du tendre,
sans doute que pour toi
il eût-il été plus doux
d'apprendre à désapprendre.
On approchait la main
on avait un peu peur
quand aboyaient les chiens,
gardiens de ton coeur.
Ton étrange complainte
plus brutale que tendre
je l'entendis un soir,
chant de passions éteintes
te méfier de tout
du brutal et du tendre,
sans doute que pour toi
il eût-il été plus doux
d'apprendre à désapprendre.
On approchait la main
on avait un peu peur
quand aboyaient les chiens,
gardiens de ton coeur.
Ton étrange complainte
plus brutale que tendre
je l'entendis un soir,
chant de passions éteintes
où volaient comme cendres
les mots du désespoir
On approchait la main
on avait un peu peur
quand aboyaient les chiens,
gardiens de ton coeur.
Eût-il fallu te prendre
sans poser de questions
les mains au fond des poches
d'un bouche-à-bouche tendre
soufflé dans le ballon
de ta tête de pioche
On approchait la main
on avait un peu peur
quand aboyaient les chiens,
les mots du désespoir
On approchait la main
on avait un peu peur
quand aboyaient les chiens,
gardiens de ton coeur.
Eût-il fallu te prendre
sans poser de questions
les mains au fond des poches
d'un bouche-à-bouche tendre
soufflé dans le ballon
de ta tête de pioche
On approchait la main
on avait un peu peur
quand aboyaient les chiens,
gardiens de ton coeur.
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