Paroles de la chanson Le Luxembourg par Nicoletta

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Paroles de la chanson Le Luxembourg par Nicoletta

Nous n'attendions jamais le printemps
Nous partions devant lui
Il nous suivait en dansant

Pour nous moquer des statues dénudées
Et des passants frissonnant
On s'asseyait sur un banc

Le Luxembourg existe-t-il toujours
Ailleurs qu'au fond de nos souvenirs ?
La pluie ne l'a-t-elle pas effacé ?
N'est-il qu'une chose morte
Enfouie sous les feuilles mortes ?
Le temps ne l'a-t-il pas aujourd'hui noyé, noyé ?

Je te vois avec tes cheveux longs
Plus longs que les miens
Et des livres plein les mains

Des oiseaux autour de toi
Comme saint François
Et l'on s'embrassait
Sous les yeux des gardiens

Le Luxembourg existe-t-il toujours
Ailleurs qu'au fond de nos souvenirs ?
La pluie ne l'a-t-elle pas effacé ?
N'est-il qu'une chose morte
Enfouie sous les feuilles mortes ?
Le temps ne l'a-t-il pas aujourd'hui noyé, noyé ?

Le Luxembourg existe-t-il toujours

Ailleurs qu'au fond de nos souvenirs ?
La pluie ne l'a-t-elle pas effacé ?
N'est-il qu'une chose morte
Enfouie sous les feuilles mortes ?
Le temps ne l'a-t-il pas aujourd'hui noyé, noyé ?

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