Paroles de la chanson Ophélia par Nolwenn Leroy
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Paroles de la chanson Ophélia par Nolwenn Leroy
Je descends lentement,
Mon corps enfin se repose,
Les cheveux longs dans le courant
Ondulent en caressant
Dans le silence libre et sans lien,
Doucement me balance
Un berceau bleu étincelant au fond de l’océan...
Si tu as rêvé dans les eaux sombres,
Dans la pénombre où nage Ophélia,
Si la lueur des profondeurs t’attire aussi,
Ne me retiens pas,
Même si les bras froids du tendre océan te saisissent, englacent ton cœur,
Tu me rejoindras,
Mon corps enfin se repose,
Les cheveux longs dans le courant
Ondulent en caressant
Dans le silence libre et sans lien,
Doucement me balance
Un berceau bleu étincelant au fond de l’océan...
Si tu as rêvé dans les eaux sombres,
Dans la pénombre où nage Ophélia,
Si la lueur des profondeurs t’attire aussi,
Ne me retiens pas,
Même si les bras froids du tendre océan te saisissent, englacent ton cœur,
Tu me rejoindras,
Ne me sauve pas,
Coule avec moi,
Ne me retiens pas...
Je n’entends ni ne respire,
Les vagues se retirent,
Sur l’oreiller blanc des abysses,
Je peux me laisser partir...
Si tu as rêvé dans les eaux sombres,
Dans la pénombre où nage Ophélia,
Si la lueur des profondeurs t’attire aussi,
Ne me retiens pas,
Même si les bras froids du tendre océan te saisissent, englacent ton cœur,
Tu me rejoindras,
Ne me sauve pas,
Coule avec moi,
Coule avec moi,
Ne me retiens pas...
Je n’entends ni ne respire,
Les vagues se retirent,
Sur l’oreiller blanc des abysses,
Je peux me laisser partir...
Si tu as rêvé dans les eaux sombres,
Dans la pénombre où nage Ophélia,
Si la lueur des profondeurs t’attire aussi,
Ne me retiens pas,
Même si les bras froids du tendre océan te saisissent, englacent ton cœur,
Tu me rejoindras,
Ne me sauve pas,
Coule avec moi,
Ne me retiens pas...
D’un coquillage blanc,
On renaîtra émerveillé dans la lumière,
On ouvrira nos paupières closes,
Devant la beauté d’une autre mer.
Je retourne à la mer,
Je retourne à la mer...
Je n’entends ni ne respire,
Les vagues se retirent,
Sur l’oreiller blanc des abysses
Je peux me laisser partir...
D’un coquillage blanc,
On renaîtra émerveillé dans la lumière,
On ouvrira nos paupières closes,
Devant la beauté d’une autre mer.
Je retourne à la mer,
Je retourne à la mer...
Je n’entends ni ne respire,
Les vagues se retirent,
Sur l’oreiller blanc des abysses
Je peux me laisser partir...
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