Paroles de la chanson Monolithe humain par Octave Noir
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Paroles de la chanson Monolithe humain par Octave Noir
[Octave Noir]
Une vie de routine
Des stéréotypotages
Du lèche-vitrine
Demain les nuages
Bientôt la fin
Les restes, les restes que l'on donne au chien
Où sont l'ai au samba ?
Pour qui sonne le glas ?
Quelle est mon histoire ?
Ne fais pas d'effort
Croire ou ne pas croire
Monolithe humain
Morceau de soleil
Sortie de terrain
Une vie de routine
Des stéréotypotages
Du lèche-vitrine
Demain les nuages
Bientôt la fin
Les restes, les restes que l'on donne au chien
Où sont l'ai au samba ?
Pour qui sonne le glas ?
Quelle est mon histoire ?
Ne fais pas d'effort
Croire ou ne pas croire
Monolithe humain
Morceau de soleil
Sortie de terrain
J'ai vu les premiers rayons nous écrire le jour
Le jour nous parlait d'hier, le jour nous parlait tout court
On portera le silence jusqu'au pied des vivants
On s'est parlé dans l'ombre on s'est parlé des vestiges
J'ai vu les premiers rayons nous écrire le jour
Le jours nous parlait d'avant comme s'il nous parlait de toujours
On portera le crépuscule aux pieds des dieux
Ombre ou lumière on sait puisque on séparé des deux
[ARM]
Ébloui par les rayons, visé dans les mirage
J'écoute le bruit d'avant, revenu d'ailleurs puis écarté de l'image
On a appris à faire et à refaire sans autour du ciel depuis l'premier virage
Les tours de verre qu'il fallait atteindre, j'ai pris la route et violences sans visage
Et puis les feux sortis de terrain
J'ai passé les vitesses et serré la nuit dans mes bras
J'ai roulé, roulé dans plus délaisser la lumière
J'suis pas d'ceux qui fuyaient leurs ombres ou parlaient contre elles
D'offusquer du silence, aduler tout ce qui semblait contraire
J'ai disparu du jeu parce qu’il n'existait pas
J'ai pris les terrains minés, j'ai pris les terrains vagues
J'ai attendu les demains, visé loin des jeux des rapaces
Les tours de verre qu'il fallait atteindre, j'ai pris la route et violences sans visage
Et puis les feux sortis de terrain
J'ai passé les vitesses et serré la nuit dans mes bras
J'ai roulé, roulé dans plus délaisser la lumière
J'suis pas d'ceux qui fuyaient leurs ombres ou parlaient contre elles
D'offusquer du silence, aduler tout ce qui semblait contraire
J'ai disparu du jeu parce qu’il n'existait pas
J'ai pris les terrains minés, j'ai pris les terrains vagues
J'ai attendu les demains, visé loin des jeux des rapaces
La lumière était loin ses rêves plantés dans l'impasse
[Octave Noir et ARM]
J'ai vu les premiers rayons nous écrire le jour
Le jour nous parlait d'hier, le jour nous parlait tout court
On portera le silence jusqu'au pied des vivants
On s'est parlé dans l'ombre on s'est parlé des vestiges
J'ai vu les premiers rayons nous écrire le jour
Le jours nous parlait d'avant comme s'il nous parlait de toujours
On portera le crépuscule aux pieds des dieux
Ombre ou lumière on sait puisque on séparé des deux
Ébloui par les rayons
[Octave Noir et ARM]
J'ai vu les premiers rayons nous écrire le jour
Le jour nous parlait d'hier, le jour nous parlait tout court
On portera le silence jusqu'au pied des vivants
On s'est parlé dans l'ombre on s'est parlé des vestiges
J'ai vu les premiers rayons nous écrire le jour
Le jours nous parlait d'avant comme s'il nous parlait de toujours
On portera le crépuscule aux pieds des dieux
Ombre ou lumière on sait puisque on séparé des deux
Ébloui par les rayons
J'écoute le bruit d'avant
Le tour du ciel depuis l'premier virage
Et les feux sortis de terrain
Un coeur dans un sondage, une vie de routine
Un coeur dans un sondage, une vie de routine
Un coeur dans un sondage, une vie de routine
Ébloui par les rayons, visé dans les mirage
J'écoute le bruit d'avant, revenu d'ailleurs puis écarté de l'image
On a appris à faire et à refaire sans autour du ciel depuis l'premier virage
Les tours de verre qu'il fallait atteindre, j'ai pris la route et violences sans visage
Et puis les feux sortis de terrain
Et puis les feux sortis de terrain
Et puis les feux sortis de terrain
Le tour du ciel depuis l'premier virage
Et les feux sortis de terrain
Un coeur dans un sondage, une vie de routine
Un coeur dans un sondage, une vie de routine
Un coeur dans un sondage, une vie de routine
Ébloui par les rayons, visé dans les mirage
J'écoute le bruit d'avant, revenu d'ailleurs puis écarté de l'image
On a appris à faire et à refaire sans autour du ciel depuis l'premier virage
Les tours de verre qu'il fallait atteindre, j'ai pris la route et violences sans visage
Et puis les feux sortis de terrain
Et puis les feux sortis de terrain
Et puis les feux sortis de terrain
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