Paroles de la chanson Assez par Odezenne
Auteurs: Caillet,Cormary,Lucchini
Compositeurs: Caillet,Cormary,Lucchini
Editeurs: Xiii Bis Music
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Paroles de la chanson Assez par Odezenne
Assez
Des pressions quotidiennes assez
Dépression a la chaine assez
Surplus d'consommation assez
Des tentatives veines assez.
Du virus de la haine assez...
De ces immolations assez
D’la manipulation assez
De devoir dire amen assez
Des ricains ki s'ramènent assez
Des forces démonstrations assez
Des fausses révolutions assez
Assez, assez, assez
C’est les guerres qu'on exporte, les valeurs qu'on colporte,
Des pressions quotidiennes assez
Dépression a la chaine assez
Surplus d'consommation assez
Des tentatives veines assez.
Du virus de la haine assez...
De ces immolations assez
D’la manipulation assez
De devoir dire amen assez
Des ricains ki s'ramènent assez
Des forces démonstrations assez
Des fausses révolutions assez
Assez, assez, assez
C’est les guerres qu'on exporte, les valeurs qu'on colporte,
La pudeur qu'on escroque, le malaise qu'on importe,
La chaleur qu'on oublie, la patiente qui faiblie,
C’est la connexion, c'est le haut débit,
C’est mon téléphone et mon forfait pourrit,
C’est la dépendance qui nous régie, la frustration qui nous envahi,
C’est le premier amour qui marque à vie, c'est les besoin qu'on nous crée,
Et la société jetable qu'on nous vend a coté d'une poubelle déjà démodé,
C’est les carcans, les idées reçues, l'enfermement,
La peur et l'aveuglement, c'est l'individualisme triomphant,
C’est l'argent, c'est qu'il y a pas assez d'personne et trop d'gens,
C’est le 'vieux qui marronne, c'est l'caid qui s'couronne
La chaleur qu'on oublie, la patiente qui faiblie,
C’est la connexion, c'est le haut débit,
C’est mon téléphone et mon forfait pourrit,
C’est la dépendance qui nous régie, la frustration qui nous envahi,
C’est le premier amour qui marque à vie, c'est les besoin qu'on nous crée,
Et la société jetable qu'on nous vend a coté d'une poubelle déjà démodé,
C’est les carcans, les idées reçues, l'enfermement,
La peur et l'aveuglement, c'est l'individualisme triomphant,
C’est l'argent, c'est qu'il y a pas assez d'personne et trop d'gens,
C’est le 'vieux qui marronne, c'est l'caid qui s'couronne
C’est l'prof qui méprise c'est l'riche qui s'étonne
C’est les media qui déguisent, c'est la bêtise qu'on clone
C’est l'minet qui s'la donne c'est la haine qu'on attise
La chaine qu'on brise, les putes qui séduisent, le juges qui fredonnent,
C’est l'poids d'l'entreprise, c'est l’dieu c'est l'symbole,
C’est les erreurs qu'on gomme, c'est l'orgueil qui rayonne,
La chance qu'on nous brise l'indifférence comprise par tous
C’est l'batard qui claironne, l'étranger qu'on soupçonne, les gens qui se suffisent à eux même.
C’est les media qui déguisent, c'est la bêtise qu'on clone
C’est l'minet qui s'la donne c'est la haine qu'on attise
La chaine qu'on brise, les putes qui séduisent, le juges qui fredonnent,
C’est l'poids d'l'entreprise, c'est l’dieu c'est l'symbole,
C’est les erreurs qu'on gomme, c'est l'orgueil qui rayonne,
La chance qu'on nous brise l'indifférence comprise par tous
C’est l'batard qui claironne, l'étranger qu'on soupçonne, les gens qui se suffisent à eux même.
Assez.
Y a des lagons bleus sur la lune M’a dit un monsieur un peu fou
Un vieux lascar des rue Qui devait être un peu trop saoul
Y a des singes savants Dans les écoles de Paris
M’a dit ma grand-maman Un jour sur le quai de Bercy
Y a des tigres du Bengale Dans le zoo de Vincennes
Félins qui crèvent le dalle Et qu’ont pas l’allure saine
... Du sOleil dans les fossettes Et mon cœur plein de fougue Me tape des pieds à la tête
Maman m’a dit Que la mer était verte Là où l’homme en famille Bronze le cerveau inerte
Papa m’a dit Fils, rends moi fier Deviens libellule Dépasse les montgolfières
Y a des lagons bleus sur la lune M’a dit un monsieur un peu fou
Un vieux lascar des rue Qui devait être un peu trop saoul
Y a des singes savants Dans les écoles de Paris
M’a dit ma grand-maman Un jour sur le quai de Bercy
Y a des tigres du Bengale Dans le zoo de Vincennes
Félins qui crèvent le dalle Et qu’ont pas l’allure saine
... Du sOleil dans les fossettes Et mon cœur plein de fougue Me tape des pieds à la tête
Maman m’a dit Que la mer était verte Là où l’homme en famille Bronze le cerveau inerte
Papa m’a dit Fils, rends moi fier Deviens libellule Dépasse les montgolfières
Alors j’ai pris du zèle Et j’ai volé sur la planète
Plus vite que les gazelles Plus haut que les comètes
J’ai d’mandé aux pingouins D’aller aux Baléares
Ils m’ont dit qu’il était trop tard La mer là-bas sent le shampooing
J’ai d’mandé aux étoiles Pourquoi vous êtes plus à Paris
La réponse fut brutale « Ton ciel tonton est pourri ! »
Et puis j’ai r’gardé l’être Pour qui j’ai du dégoût
Prier à sa fenêtre Avec 3 kilos de bijoux
Plus vite que les gazelles Plus haut que les comètes
J’ai d’mandé aux pingouins D’aller aux Baléares
Ils m’ont dit qu’il était trop tard La mer là-bas sent le shampooing
J’ai d’mandé aux étoiles Pourquoi vous êtes plus à Paris
La réponse fut brutale « Ton ciel tonton est pourri ! »
Et puis j’ai r’gardé l’être Pour qui j’ai du dégoût
Prier à sa fenêtre Avec 3 kilos de bijoux
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