Paroles de la chanson Hirondelles par Odezenne
Auteurs: Caillet,Cormary,Lucchini
Compositeurs: Caillet,Cormary,Lucchini
Editeurs: Xiii Bis Music
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Paroles de la chanson Hirondelles par Odezenne
Je repense à deux, trois bédos,
insouciance, époque tcherno avant de cramer ma science au double zéro.
Je salive grave, coupe mes saves quand le jour se lève, ça livre grave.
Quand le bourge s’élève ça bicrave, libre quand je mouille mes lèvres, ça se dit brave ?!
Ça se dégrade... Ça se dégrade.
Il est fini le temps des hirondelles,
désiraient-elles une seule chose que je disais d’elles ?
Ma putain de vie de jeune en grand jean,
en gros ça se deale entre le verre d’eau et le gin.
Et là mate-moi ! Un magma qui me somme mais ne m’a pas !
insouciance, époque tcherno avant de cramer ma science au double zéro.
Je salive grave, coupe mes saves quand le jour se lève, ça livre grave.
Quand le bourge s’élève ça bicrave, libre quand je mouille mes lèvres, ça se dit brave ?!
Ça se dégrade... Ça se dégrade.
Il est fini le temps des hirondelles,
désiraient-elles une seule chose que je disais d’elles ?
Ma putain de vie de jeune en grand jean,
en gros ça se deale entre le verre d’eau et le gin.
Et là mate-moi ! Un magma qui me somme mais ne m’a pas !
Hello ! Ici c’est le jeune blanc bec bello !
Pas de scellés sur mon coffre-fort, trop zélé par mes propres torts,
les souvenirs transpirent de mes pores.
Des grandes gifles, sauf quand je braille HIP HOP HIP HOURRAH !!!
Ou que je siffle happy, « Happy days » !
Me prenant pour un hippie sans baise.
-« T’entends ou quoi ? Ce bruit qui grince sur un vieux disque rayé ?
Y’a rien qui dénote, c’est juste un rivage qui s’éloigne et le risque d’oublier. »
Tout à déblayer. Je bégaye pas quand je rappe !
Je me perds dans la répétition quand je dérape.
Pas de scellés sur mon coffre-fort, trop zélé par mes propres torts,
les souvenirs transpirent de mes pores.
Des grandes gifles, sauf quand je braille HIP HOP HIP HOURRAH !!!
Ou que je siffle happy, « Happy days » !
Me prenant pour un hippie sans baise.
-« T’entends ou quoi ? Ce bruit qui grince sur un vieux disque rayé ?
Y’a rien qui dénote, c’est juste un rivage qui s’éloigne et le risque d’oublier. »
Tout à déblayer. Je bégaye pas quand je rappe !
Je me perds dans la répétition quand je dérape.
Nostalgie... Il s’agit plus de s’installer par magie et de me « lost », moi je gît.
Je suis pas molosse quand elle me laisse ça me lasse pas,
pas véloce quand elle me blesse je ne marche plus,
je suis trop gosse quand elle me teste je ne danse pas.
Pas de négoce quand elle me baise je ne pense plus.
Époque collège, années collage à gauche,
âne du fond de la classe, pote du radiateur,
meneur des retardataires qui viennent en cours qu’avec un 4 couleurs,
pas de feuille, pas de sac, pas de goûter, pas de scooter.
Époque sket-ba à mille balles, époque y’a pas de chérie-chérie,
Je suis pas molosse quand elle me laisse ça me lasse pas,
pas véloce quand elle me blesse je ne marche plus,
je suis trop gosse quand elle me teste je ne danse pas.
Pas de négoce quand elle me baise je ne pense plus.
Époque collège, années collage à gauche,
âne du fond de la classe, pote du radiateur,
meneur des retardataires qui viennent en cours qu’avec un 4 couleurs,
pas de feuille, pas de sac, pas de goûter, pas de scooter.
Époque sket-ba à mille balles, époque y’a pas de chérie-chérie,
époque Patrick Ewing/Michael Air Jordan.
Billet d’absence rose, billet de retard bleu,
la pionne elle est trop bonne elle se fait gué-dra par le C.P.E !
Époque des p’tits foots du centre commercial,
de quand on avait la dalle. Survêt nylon plein de p’tits trous.
Les clopes menthol d’une daronne qu’on fait tourner,
celui qui dit qu’il fume 70 grammes dans la même journée.
Époque 8.6, tabac à rouler :
« T’as pas à rouler ? Dis fils ? T’as pas à rouler ? Même une crotte de nez... »
Époque pelotage de nénés tout rikikis,
fin du rencard à dix-huit heures, je lui laisse mes gants Tacchini.
Époque la honte d’être avec ses remps devant l’école,
Billet d’absence rose, billet de retard bleu,
la pionne elle est trop bonne elle se fait gué-dra par le C.P.E !
Époque des p’tits foots du centre commercial,
de quand on avait la dalle. Survêt nylon plein de p’tits trous.
Les clopes menthol d’une daronne qu’on fait tourner,
celui qui dit qu’il fume 70 grammes dans la même journée.
Époque 8.6, tabac à rouler :
« T’as pas à rouler ? Dis fils ? T’as pas à rouler ? Même une crotte de nez... »
Époque pelotage de nénés tout rikikis,
fin du rencard à dix-huit heures, je lui laisse mes gants Tacchini.
Époque la honte d’être avec ses remps devant l’école,
époque la honte de se prendre une méchante crampe derrière l’école.
Mauvaise haleine du tin-ma,
le teint mat, le teint blanc, la même couleur, la même douleur, le froid de l’hiver j’ai seize ans !
Transport en commun, paysage sans nature.
Sur les vitres des ratures et des tas de signatures, dont la mienne.
Époque beat-box à balle deux en heure de sniffeur de colle dans la salle deux.
Mauvaise haleine du tin-ma,
le teint mat, le teint blanc, la même couleur, la même douleur, le froid de l’hiver j’ai seize ans !
Transport en commun, paysage sans nature.
Sur les vitres des ratures et des tas de signatures, dont la mienne.
Époque beat-box à balle deux en heure de sniffeur de colle dans la salle deux.
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